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Maybach lance l'Edition 125!
Extérieurement, cette édition s'habille de jantes multi-branches de 20 pouces, ainsi que d'une teinte biton alliant le noir au gris argenté. C'est toutefois à l'intérieur qu'individualisation et luxe se déploient à l'extrême. Autrefois réservés à la version longue 62, les sièges inclinables seront désormais disponibles sur les modèles 57 et 57S. Viennent aussi de nouveaux revêtements, un brumisateur de parfum d'ambiance, un écran haute résolution de 19 pouces, une connexion internet wifi, et bien d'autres équipements de standing. Toutefois, pas de quoi transformer la vieillissante Maybach en best-seller.
Maybach 57 S China Special Edition

Malgré une croissance impressionnante et un goût certain pour les limousines, le marché chinois ne regorge pas de Maybach. La vieillissante limo ne s'y vend pas très bien, pas plus que dans le reste du monde. Bentley ou Rolls-Royce demeurent loin devant.
Pour espérer attirer quelques clients de Chine, Maybach n'a donc eu d'autre idée que de créer une China Special Edition. D'autres comme Ferrari ont déjà tenté de charmer ce marché d'envergure avec ce genre d'attention. Dans le cas présent, Maybach n'a en rien modifié l'auto, son habitacle, ses équipements ou sa motorisation. Simplement, la 57 S aura été peinte en rouge. Idée lumineuse... dont Audi, Rolls-Royce ou Bentley se passent pourtant très bien.
Précisément, la teinte extérieure se trouve être bi-ton mêlant rouge et gris, les jantes ont été colorées en conséquence et la sellerie intérieure arbore des coutures rouge.
Pour espérer attirer quelques clients de Chine, Maybach n'a donc eu d'autre idée que de créer une China Special Edition. D'autres comme Ferrari ont déjà tenté de charmer ce marché d'envergure avec ce genre d'attention. Dans le cas présent, Maybach n'a en rien modifié l'auto, son habitacle, ses équipements ou sa motorisation. Simplement, la 57 S aura été peinte en rouge. Idée lumineuse... dont Audi, Rolls-Royce ou Bentley se passent pourtant très bien.
Précisément, la teinte extérieure se trouve être bi-ton mêlant rouge et gris, les jantes ont été colorées en conséquence et la sellerie intérieure arbore des coutures rouge.
L'avenir de Maybach décidé début juillet
La direction du groupe devra donc statuer sur le sort de la filiale grand luxe de Mercedes, et plusieurs options sont envisagées.
La première et plus évidente serait la fermeture pure et simple de Maybach, en écoulant les derniers modèles en stock et assurant le service après-vente.
La seconde, en discussion depuis quelques mois, serait une association avec Aston Martin. La production deMaybach serait ainsi déplacée à Gaydon dans les nouvelles structures de la marque (où sont désormais produites les Rapide) et un nouveau modèle pourrait être lancé sur base de nouvelle Classe S. Cette option permettrait notamment à Aston Martin de remplir ses caisses, aidant le constructeur britannique à franchir une période difficile puis, à terme, de bénéficier des plate-formes Mercedes pour le développement de nouveaux modèles, DB9 ou Lagonda.
Rendez-vous dans quelques semaines pour être fixés.
Mécénat : Maybach et le Louvre

De fin janvier jusqu'au mois d'octobre 2011, le public pourra découvrir une exposition consacrée aux sculptures de Tony Cragg. Cette exposition est organisée conjointement via ce partenariat.
"Nous sommes absolument enchantés d'avoir l'opportunité de travailler ensemble avec le Musée du Louvre, parce qu'il partage les mêmes valeurs que Maybach : le même sens de l'excellence, de l'originalité et de la tradition" a expliqué Patrick Marinoff, Directeur Général de Maybach.
Maybach 57S : un coupé par Xenatec

Basée sur une Maybach 57S, la limousine perd ici ses deux portes arrière et voit son pavillon surbaissé de 9 cm. Outre cette modification esthétique évidente, on note également un bouclier et un diffuseur arrière spécifiques intégrant deux grosses sorties d'échappement.
Signalons également les jantes de 20 pouces et les feux de jour à LED.
L'habitacle conserve le luxe habituel des productions de la marque avec des équipements à ne plus savoir quoi en faire et un confort royal.
Sous le capot, on retrouvera le V12 de 6 litres développant 630 chevaux et 1000 Nm de couple, couplé à une boite automatique à 5 rapports. Malgré ses 2.662 kg, le Maybach 57S Coupé pulvérise le 0 à 100 km/h en 5 secondes et pointe à 275 km/h.
Malgré un tarif de 807.000 € TTC (675.000€ HT), 60 des 100 exemplaires ont déjà trouvé preneur. Il y a toutefois peu de chance de le voir dans nos contrées, mis à part du côté des palaces autour des Champs Elysées avec des plaques de Dubaï...
Maybach Zeppelin : Madame Plus

Zeppelin, c'était déjà le nom de la plus fameuse des Maybach, commercialisée entre 1928 et 1934. Les Maybach57 Zeppelin et Maybach 62 Zeppelin – deux variantes de longueurs différentes – s'en veulent les héritières. Pour justifier des tarifs allant de 406 000 à 473 200 euros, elles jouent la surenchère en matière d'équipement, de puissance et de luxe.
Côté moteur, les Maybach Zeppelin bénéficient du V12 biturbo des Maybach 57 et 62 S, mais dans une version plus puissante : 640 ch (contre 612). La carrosserie se distingue par un traitement bicolore, les jantes en aluminium de 20 pouces sont spécifiques et les rétroviseurs profilés sont inédits.
Les cuirs beige California et noir Stromboli se disputent les mètres carrés de l'habitacle, tandis que de la laine de mouton habille le plancher. À l'arrière, une sorte de boule en plexiglas fait office de diffuseur de parfum.
Les Maybach Zeppelin seront commercialisées à partir du 3 mars 2009, pour des premières livraisons en septembre 2009.


Maybach : le début de la fin ?

Lancé en pleine période d'euphorie pour le groupe germano-américain, le projet Maybach devait ramener d'outre-tombe cette marque prestigieuse remontant à l'avant-guerre. Mais Daimler, désormais séparé de Chrysler, n'a pas l'intention d'investir dans cette danseuse qu'est devenue Maybach. Cela sent donc le sapin pour cette « über Classe S » à l'équipement riche mais à l'allure décidément bien commune en comparaison d'une Rolls-Royce Phantom...
Heureusement pour Daimler, l'aventure n'aura pas été trop coûteuse, la Maybach ayant réutilisé bon nombre d'éléments techniques issus de l'ancienne Mercedes Classe S. Mais son échec est peut-être justement du à la frilosité des investissements initiaux, quand dans le même temps BMW réinventait littéralement la Rolls du XXIe siècle avec une nouvelle usine et des équipements technologiques dernier cri...
Brabus : 330 km/h en Maybach !


Pourquoi rouler à 330 km/h dans un coupé exigu et bruyant alors que l'on peut atteindre la même vitesse à l'arrière d'une Maybach, habillé d'un smoking et en sirotant un bon champagne ? Une drôle de question que probablement peu de gens se posaient, mais à laquelle le préparateur allemand Brabus a tenu à répondre.
Brabus a ainsi monté son moteur SV12S 12 cylindres 6,3 litres biturbo de 730 ch sous le capot d'une Maybach 57 et a emmené le tout sur l'anneau de vitesse de Nardo, dans le sud de l'Italie, terre d'élection des records de vitesse. Brabus y a d'ailleurs homologué la vitesse la plus élevée jamais atteinte par une berline, à... 365,7 km/h !
Sur cet anneau de 12,5 km de long, la Maybach dopée à l'EPO a donc atteint la vitesse de 330,6 km/h. Un joli score pour ce « teckel » de 5,73 mètres de long flirtant avec les... 3 tonnes ! D'autant que l'intérieur n'a rien perdu de son luxe, bien au contraire : Brabus offre même des finitions spécifiques (cuirs et Alcantara dans une grande variété de teintes, tapis en cuir surpiqué, moquette en laine d'agneau) et des équipements non proposés par Maybach, tels que des écrans LCD de 15 pouces et un ordinateur relié à internet grâce à la technologie 3G.
Les prix ? Mieux vaut ne pas aborder ce genre de sujet, ce serait d'une vulgarité...
Brabus a ainsi monté son moteur SV12S 12 cylindres 6,3 litres biturbo de 730 ch sous le capot d'une Maybach 57 et a emmené le tout sur l'anneau de vitesse de Nardo, dans le sud de l'Italie, terre d'élection des records de vitesse. Brabus y a d'ailleurs homologué la vitesse la plus élevée jamais atteinte par une berline, à... 365,7 km/h !
Sur cet anneau de 12,5 km de long, la Maybach dopée à l'EPO a donc atteint la vitesse de 330,6 km/h. Un joli score pour ce « teckel » de 5,73 mètres de long flirtant avec les... 3 tonnes ! D'autant que l'intérieur n'a rien perdu de son luxe, bien au contraire : Brabus offre même des finitions spécifiques (cuirs et Alcantara dans une grande variété de teintes, tapis en cuir surpiqué, moquette en laine d'agneau) et des équipements non proposés par Maybach, tels que des écrans LCD de 15 pouces et un ordinateur relié à internet grâce à la technologie 3G.
Les prix ? Mieux vaut ne pas aborder ce genre de sujet, ce serait d'une vulgarité...
Maybach Landaulet : spéciale Gotha

Tout chef d'état, tout monarque ou tout dictateur digne de ce nom se doit de posséder dans sa remise une voiture d'apparat. Il fut un temps où la Mercedes 600 Landaulet avait les faveurs des grands de ce monde. Aujourd'hui, l'étude de style Maybach Landaulet entend reprendre le flambeau !
Comme sa glorieuse devancière, la Maybach Landaulet est une limousine dont la partie arrière est décapotable. En l'occurrence, une capote en toile coulisse électriquement à la demande du chauffeur et vient se replier derrière les passagers. Les flancs de la carrosserie restent malheureusement fixes, alors que la Mercedes 600 Landaulet ne conservait que ses encadrements de portières une fois décapotée.
En outre, on pourra regretter qu'à l'heure du toit rigide escamotable, Maybach en soit resté à la capote souple pour ce concept-car. Peugeot avait pourtant montré la voie avec sa 607 Paladine, dotée d'un hard top à commande électrique. En outre, le couvre-capote doit être installé manuellement par le chauffeur. Tout ceci manque de raffinement technologique, avouons-le !
Pour le reste, la Maybach Landaulet ne craint personne. Basée sur une 62 S, elle embarque le V12 biturbo de 612 ch (et 1 000 Nm !) et se pare d'une teinte « blanc antigua ». Dans l'habitacle, la partie réservée au chauffeur est habillée d'un cuir noir brillant, tandis que le compartiment des passagers est revêtu d'un cuir blanc. Entre les deux, la séparation est surmontée d'une vitre qui peut devenir opaque par simple pression sur un bouton grâce aux cristaux liquides qu'elle renferme.
Maybach bientôt sous l'éteignoir ?
Il est vrai que les Maybach restaient trop proches visuellement des Mercedes Classe S, malgré des tarifs très largement supérieurs. BMW et Volkswagen, tout au contraire, ont conçu des Rolls et des Bentley ne partageant que des éléments invisibles avec leurs propres productions. Une leçon que DaimlerChrysler ferait bien de méditer...
Le cadeau de noël ultime !

Une Maybach noire ou une Maybach blanche ? Aux clients qui hésiteraient, un concessionnaire Mercedes-Maybachcalifornien propose... de ne pas choisir !
A l'occasion des fêtes de fin d'année, Fletcher Jones Motorcars propose en effet un assortiment cadeau plutôt original. Basé à Newport Beach, ville chic du comté d'Orange, ce concessionnaire possède à son catalogue "le cadeau de Noël ultime", destinés aux couples ne manquant de rien...
Cet assortiment est constitué de deux Maybach 57S, plus un séjour de deux nuits dans la suite présidentielle d'un palace 5 étoiles local, en pension complète bien évidemment.
Le prix ? Ne le dites pas à Madame, cela ne se fait pas. Mais les deux Maybach enrubannées et le séjour en amoureux vous coûteront... 700 000 dollars, soit 533 000 euros. Signez ici, s'il vous plaît !
MAYBACH SW 38 Cabriolet transformable
Le musée de Sinsheim avait rejoint Mulhouse avec l’un de ses trésors, une Maybach SW 38, digne représentante de la marque de Friedrichshafen.
Il s’agit d’un exemplaire sorti d’usine en 1939 de la version cabriolet transformable du modèle. Ce vaisseau de 3,68 mètres d’empattement et de plus de cinq mètres de longueur offre sept places avec deux strapontins. L’immense espace arrière est équipé d’une séparation intérieure escamotable. Comme la plupart des Maybach, la SW 38 a été confiée à la carrosserie Spohn, la célèbre maison de Ravensburg.
Il s’agit d’un exemplaire sorti d’usine en 1939 de la version cabriolet transformable du modèle. Ce vaisseau de 3,68 mètres d’empattement et de plus de cinq mètres de longueur offre sept places avec deux strapontins. L’immense espace arrière est équipé d’une séparation intérieure escamotable. Comme la plupart des Maybach, la SW 38 a été confiée à la carrosserie Spohn, la célèbre maison de Ravensburg.


On ne saurait trop souligner le caractère techniquement très évolué de cette voiture, notamment dotée d’une suspension à roues indépendantes, chaque essieu recevant un ressort transversal et deux ressorts hélicoïdaux. Alimenté par deux carburateurs double corps, son six cylindres en ligne à soupapes en tête de 3,8 litres développe 140 ch à 4000 tr/mn. Malgré ses 2,5 tonnes, la Maybach roule à 140 km/h.
Le moteur est accouplé à une boîte de vitesses Maybach présélective à dépression, qui comprend huit rapports (quatre vitesses normales et quatre lentes, y compris en marche arrière !). Ces derniers sont tous disponibles au volant grâce à deux petits leviers, ce qui facilite grandement la vie du chauffeur et lui offre une conduite confortable.
Le moteur est accouplé à une boîte de vitesses Maybach présélective à dépression, qui comprend huit rapports (quatre vitesses normales et quatre lentes, y compris en marche arrière !). Ces derniers sont tous disponibles au volant grâce à deux petits leviers, ce qui facilite grandement la vie du chauffeur et lui offre une conduite confortable.


La SW 38 fait partie de la collection du musée de Sinsheim depuis plus de 25 ans. Ce dernier possède un exceptionnel ensemble de onze Maybach, dont trois V12, sans parler des moteurs de la marque qui équipaient les véhicules de la Wehrmacht, en particulier les chars Panzer, Tigre, Leopard, etc., dont les V12 délivraient jusqu'à 700 ch.
La voiture a été totalement restaurée au terme d’un long travail réalisé dans les ateliers du musée. Un chantier mené avec exigence. Ainsi, strictement d’origine, les cadrans du tableau de bord ont nécessité une patiente recherche
La voiture a été totalement restaurée au terme d’un long travail réalisé dans les ateliers du musée. Un chantier mené avec exigence. Ainsi, strictement d’origine, les cadrans du tableau de bord ont nécessité une patiente recherche
La SW 38 fait partie de la collection du musée de Sinsheim depuis plus de 25 ans. Ce dernier possède un exceptionnel ensemble de onze Maybach, dont trois V12, sans parler des moteurs de la marque qui équipaient les véhicules de la Wehrmacht, en particulier les chars Panzer, Tigre, Leopard, etc., dont les V12 délivraient jusqu'à 700 ch.
La voiture a été totalement restaurée au terme d’un long travail réalisé dans les ateliers du musée. Un chantier mené avec exigence. Ainsi, strictement d’origine, les cadrans du tableau de bord ont nécessité une patiente recherche.
La voiture a été totalement restaurée au terme d’un long travail réalisé dans les ateliers du musée. Un chantier mené avec exigence. Ainsi, strictement d’origine, les cadrans du tableau de bord ont nécessité une patiente recherche.


D’abord lié à Gottlieb Daimler, Wilhelm Maybach s’associe à son ami le comte Ferdinand von Zeppelin pour développer à partir de 1907 des moteurs de dirigeables, puis d’avions. L’Allemagne s’étant vu interdire la fabrication de moteurs aéronautiques au lendemain de la Première Guerre mondiale, Maybach se lance dans la construction de voitures de prestige.
Le premier modèle, la W3, sort en 1922. Elle est équipée d’un six cylindres latéral de 5,7 litres. Quatre ans plus tard, apparaît la W5, dont le sept litres développe 120 ch. Elle a notamment pour client l’empereur d’Ethiopie, Hailé Sélassié, qui commande un landaulet en 1929. La même année voit le lancement de la Maybach 12 type DS, rebaptisée Zeppelin DS7 en 1930. C’est l’ère des somptueux modèles animés par un douze cylindres en V, d’abord de sept litres, puis de huit litres avec la DS8, vaisseau amiral de la marque.
Le premier modèle, la W3, sort en 1922. Elle est équipée d’un six cylindres latéral de 5,7 litres. Quatre ans plus tard, apparaît la W5, dont le sept litres développe 120 ch. Elle a notamment pour client l’empereur d’Ethiopie, Hailé Sélassié, qui commande un landaulet en 1929. La même année voit le lancement de la Maybach 12 type DS, rebaptisée Zeppelin DS7 en 1930. C’est l’ère des somptueux modèles animés par un douze cylindres en V, d’abord de sept litres, puis de huit litres avec la DS8, vaisseau amiral de la marque.


Maybach 62S: Au bon plaisir du chauffeur

Maybach, la marque de très haut de gamme du groupe DaimlerChrysler, ne rencontre pas vraiment le succès escompté. Du coup, le constructeur a trouvé un nouveau moyen de faire parler de lui : jouer la surenchère !
La Maybach 62S répond à cette nouvelle philosophie. Elle prend pour base la Maybach 62, une limousine déjà impressionnante avec ses 6,16 m de longueur, ses sièges arrière inclinables dignes d'une première classe et son toit vitré à cristaux liquides.
La 62S ajoute à cette dotation le V12 biturbo de 612 ch déjà apparu sur la Maybach 57S, ce qui en fait, aux dires du constructeur, « la voiture conduite par chauffeur la plus puissante du monde ».
Reste qu'on peut se demander quel sera l'intérêt pour le grand patron, la star de cinéma ou l'homme politique qui s'installera à l'arrière de savoir que son chauffeur pourra lancer sa limousine de 0 à 100 km/h en 5,2 secondes, ou que le couple de 1 000 Nm reste constant de 2 000 à 4 000 tr/min...
Les passagers arrière pourront cependant profiter pleinement d'une présentation un peu plus sportive, à base de peuplier anthracite, de carbone et de boiseries façon piano. Contrairement à la 57S, la 62S préserve les réglages châssis de la version d'origine : pas question de chahuter les people qui s'installeront à l'arrière ! Rappelons que le S ajouté au matricule ne signifie pas « Sport » mais « Spezial »...
La Maybach 62S répond à cette nouvelle philosophie. Elle prend pour base la Maybach 62, une limousine déjà impressionnante avec ses 6,16 m de longueur, ses sièges arrière inclinables dignes d'une première classe et son toit vitré à cristaux liquides.
La 62S ajoute à cette dotation le V12 biturbo de 612 ch déjà apparu sur la Maybach 57S, ce qui en fait, aux dires du constructeur, « la voiture conduite par chauffeur la plus puissante du monde ».
Reste qu'on peut se demander quel sera l'intérêt pour le grand patron, la star de cinéma ou l'homme politique qui s'installera à l'arrière de savoir que son chauffeur pourra lancer sa limousine de 0 à 100 km/h en 5,2 secondes, ou que le couple de 1 000 Nm reste constant de 2 000 à 4 000 tr/min...
Les passagers arrière pourront cependant profiter pleinement d'une présentation un peu plus sportive, à base de peuplier anthracite, de carbone et de boiseries façon piano. Contrairement à la 57S, la 62S préserve les réglages châssis de la version d'origine : pas question de chahuter les people qui s'installeront à l'arrière ! Rappelons que le S ajouté au matricule ne signifie pas « Sport » mais « Spezial »...
Une "mini" Maybach prévue en 2012

Les grandes Maybach 57 et 62 (respectivement 5,72 et 6,16 m de long !) auront une petite soeur dès 2012 ! C'est en tous cas ce qu'annonce le magazine allemand Auto Motor und Sport, habituellement bien informé.
La décision d'élargir la gamme semble motivée par deux raisons. D'une part, la relative mévente des grandes Maybach, qui peinent à atteindre leurs objectifs commerciaux. D'autre part, l'arrivée de nouvelles rivales un peu moins haut de gamme que les 57 et 62, telles que la Bentley Continental Flying Spur ou la future petite Rolls-Royce.
La "petite" Maybach n'aura cependant rien de ridicule : basée sur la plate-forme de la Mercedes Classe S, elle devrait mesurer 5,1 m de longueur ! Si l'on suit la logique de dénomination des Maybach, ce nouveau modèle devrait donc porter le matricule 51...
Côté moteur, la Maybach 51 aura un V12, probablement le 6 litres compresseur équipant les CL et SL 65 AMG, fort de... 612 ch.
La décision d'élargir la gamme semble motivée par deux raisons. D'une part, la relative mévente des grandes Maybach, qui peinent à atteindre leurs objectifs commerciaux. D'autre part, l'arrivée de nouvelles rivales un peu moins haut de gamme que les 57 et 62, telles que la Bentley Continental Flying Spur ou la future petite Rolls-Royce.
La "petite" Maybach n'aura cependant rien de ridicule : basée sur la plate-forme de la Mercedes Classe S, elle devrait mesurer 5,1 m de longueur ! Si l'on suit la logique de dénomination des Maybach, ce nouveau modèle devrait donc porter le matricule 51...
Côté moteur, la Maybach 51 aura un V12, probablement le 6 litres compresseur équipant les CL et SL 65 AMG, fort de... 612 ch.
MAYBACH Exelero
La découverte du concept car Exelero à Francfort, en septembre dernier, fut incontestablement un choc. La star du Salon. Une chose monstrueuse, noire, grimaçante, impressionnante. Le dernier caprice de Batman ? Non, une commande de Fulda, un équipementier allemand spécialiste des pneus haut de gamme.
En fait, l'histoire commence deux ans plus tôt, sur ce même salon de l'auto de Francfort. A l'époque, les dirigeants de Fulda cherchaient à célébrer en grandes pompes (un trait d'humour… s'agissant d'un pneumaticien) le centenaire de la marque qui approchait.
En fait, l'histoire commence deux ans plus tôt, sur ce même salon de l'auto de Francfort. A l'époque, les dirigeants de Fulda cherchaient à célébrer en grandes pompes (un trait d'humour… s'agissant d'un pneumaticien) le centenaire de la marque qui approchait.


Ils s'étaient souvenus de l'aventure que Fulda avait commandité à Maybach, il y a bien longtemps, avant que le constructeur ne disparaisse, puis soit ressuscité par DaimlerChrysler. Et s'étaient dit que ce serait une très bonne idée que de la renouveler avec la Maybach nouvelle manière. Et c'est Robert Staud, un photographe renommé, familier de DaimlerChrysler, qui mit en relation le patron de Fulda, Bernd J. Hoffmann et celui de Maybach, Leon Hustinx. Les deux hommes tombèrent rapidement d'accord. Et sur le principe, et sur le cahier des charges, prévoyant la construction d'une Maybach techniquement aussi proche que possible d'une 57 de série, mais capable d'atteindre 350 km/h avec les nouveaux pneus Fulda : des Exelero Carat homologués pour des routières de haut niveau.


Sur le plan du style, cette voiture très spéciale, baptisée du nom de ses pneus, destinée à devenir la Maybach la plus rapide de tous les temps devait en revanche exprimer une interprétation moderne de l'ancienne Maybach SW 38 de la précédente collaboration avec Fulda.
Les responsables eurent l'idée de solliciter la collaboration de deux professeurs du département « design des transports » de l'école polytechnique de Pforzheim, près de Stuttgart. Ceux-ci sélectionnèrent quatre parmi leurs meilleurs étudiants pour leur demander de plancher sur leur interprétation de l'Exelero, en liaison avec les designers de DaimlerChrysler. Le team travailla pendant huit mois sous la direction du professeur Harald Leschke, et ce fut la proposition de l'étudiant Fredrik Burchhardt qui fut principalement retenue.
Les responsables eurent l'idée de solliciter la collaboration de deux professeurs du département « design des transports » de l'école polytechnique de Pforzheim, près de Stuttgart. Ceux-ci sélectionnèrent quatre parmi leurs meilleurs étudiants pour leur demander de plancher sur leur interprétation de l'Exelero, en liaison avec les designers de DaimlerChrysler. Le team travailla pendant huit mois sous la direction du professeur Harald Leschke, et ce fut la proposition de l'étudiant Fredrik Burchhardt qui fut principalement retenue.


L'Exelero serait un immense et somptueux coupé, agressif à souhait. Ses dimensions, à elles seules, laissent rêveur : 5,90 mètres de long, largement plus de deux de large, pour une hauteur limitée à 1,40 m. L'empattement est proprement gigantesque : 3,39 m. Quant au poids, il est pantagruélique : près de 2,7 tonnes à vide, et presque trois tonnes en ordre de marche. C'est que les partenaires n'ont aucunement cherché à faire ultra light. Ils voulaient une voiture conforme aux standards de Maybach : une très solide construction (chassis multitubulaire largement dimensionné), et aucun sacrifice fait au confort et au luxe.
L'habitacle de l'Exelero, tendu de cuir et de néoprène, rehaussé d'aluminium, est tout à fait digne et raffiné de celui d'une 57 ou d'une 62, et aussi complètement équipé. Seules quelques petites touches de carbone supplémentaires, et l'emplacement réservée à l'arrière pour une paire de casque… en carbone naturellement, viennent souligner le caractère sportif de cette Maybach hors normes. Le carbone a également été naturellement choisi pour la carrosserie, peinte d'un noir menaçant.
L'habitacle de l'Exelero, tendu de cuir et de néoprène, rehaussé d'aluminium, est tout à fait digne et raffiné de celui d'une 57 ou d'une 62, et aussi complètement équipé. Seules quelques petites touches de carbone supplémentaires, et l'emplacement réservée à l'arrière pour une paire de casque… en carbone naturellement, viennent souligner le caractère sportif de cette Maybach hors normes. Le carbone a également été naturellement choisi pour la carrosserie, peinte d'un noir menaçant.


Après des tests en soufflerie, l'Exelero a été assemblée à Turin, chez le spécialiste italien du cousu main Stola. Les jantes Ronal de 23 pouces sont largement chaussées en Exelero Carat 315/25. Chaque roue pèse à elle seule la bagatelle de 46 kilos !
La mise au point a été menée à bien sous la direction de Jürgen Weissinger, le responsable développement de Maybach. Très rapidement, il s'était aperçu que le V12 biturbo de série de la 57 serait insuffisant, avec ses 550 chevaux, à assurer la vitesse espérée. Les spécialistes d'Untertürkheim se sont donc mis au travail, portant la cylindrée de 5,6 litres à 5,9 litres, optimisant la suralimentation. Résultat : 700 chevaux, et un couple ahurissant, dépassant largement les 1000 Nm ! De quoi faire souffrir la boîte automatique…
La mise au point a été menée à bien sous la direction de Jürgen Weissinger, le responsable développement de Maybach. Très rapidement, il s'était aperçu que le V12 biturbo de série de la 57 serait insuffisant, avec ses 550 chevaux, à assurer la vitesse espérée. Les spécialistes d'Untertürkheim se sont donc mis au travail, portant la cylindrée de 5,6 litres à 5,9 litres, optimisant la suralimentation. Résultat : 700 chevaux, et un couple ahurissant, dépassant largement les 1000 Nm ! De quoi faire souffrir la boîte automatique…
Maybach Exelero, 700 CV !

Dévoilé à Berlin, la Maybach Exelero est un modèle unique conçu pour être la vitrine de performances des pneus Fulda.
Peu connu du grand public, Fulda est un spécialiste qui chausse les voitures d’exception. Pour célébrer son centenaire et tester une nouvelle gamme, la marque a tout simplement créé un modèle en collaboration avec Maybach.
Modèle d’origine, la berline Maybach 57 fut transformée en coupé surpuissant pour démontrer la qualité et la résistance des pneus Fulda. Elle fut modifiée mécaniquement pour passer la barre des 350 km/h nécessaires aux tests pneumatiques.
Elle dispose ainsi d’un V12 biturbo, qui passe de 5,6 à 5,9 litres et développe 700 ch pour un couple de 1020 Nm à 2500 tr/min… Malgré une balance qui culmine à 2660 kg, la Maybach Exelero abat le 0 à 100 km/h en 4,4 secondes avec une impressionnante vitesse de pointe de 351,45 km/h.
Chronométrée par une instrumentation homologuée par la FIA sur le circuit de Nardo en Italie, la Maybach Exelero détient le record du monde de vitesse avec 351, 45 km/h. Alors, la Maybach : coupé ou dragster ?
Peu connu du grand public, Fulda est un spécialiste qui chausse les voitures d’exception. Pour célébrer son centenaire et tester une nouvelle gamme, la marque a tout simplement créé un modèle en collaboration avec Maybach.
Modèle d’origine, la berline Maybach 57 fut transformée en coupé surpuissant pour démontrer la qualité et la résistance des pneus Fulda. Elle fut modifiée mécaniquement pour passer la barre des 350 km/h nécessaires aux tests pneumatiques.
Elle dispose ainsi d’un V12 biturbo, qui passe de 5,6 à 5,9 litres et développe 700 ch pour un couple de 1020 Nm à 2500 tr/min… Malgré une balance qui culmine à 2660 kg, la Maybach Exelero abat le 0 à 100 km/h en 4,4 secondes avec une impressionnante vitesse de pointe de 351,45 km/h.
Chronométrée par une instrumentation homologuée par la FIA sur le circuit de Nardo en Italie, la Maybach Exelero détient le record du monde de vitesse avec 351, 45 km/h. Alors, la Maybach : coupé ou dragster ?
Une Maybach cabriolet

Genaddi Design Group, un préparateur US propose une version convertible de la très luxueuse Maybach.
Construit uniquement sur commande, ce cabriolet hors normes peut être personnalisé à loisir par son riche propriétaire. Côté facture, prévoyez au moins 156 000 $ auxquels il faut ajouter l’achat de la voiture bien sûr !
Dirigé par Mark Gerish, Genaddi Design Group s’est spécialisé depuis plus d’une vingtaine d’année dans la transformation de véhicules. On leur doit notamment plusieurs versions de la nouvelle Bentley Continental GT et une version Spyder de la célébrissime Ferrari 250 GT0 (sacrilège !).
Construit uniquement sur commande, ce cabriolet hors normes peut être personnalisé à loisir par son riche propriétaire. Côté facture, prévoyez au moins 156 000 $ auxquels il faut ajouter l’achat de la voiture bien sûr !
Dirigé par Mark Gerish, Genaddi Design Group s’est spécialisé depuis plus d’une vingtaine d’année dans la transformation de véhicules. On leur doit notamment plusieurs versions de la nouvelle Bentley Continental GT et une version Spyder de la célébrissime Ferrari 250 GT0 (sacrilège !).
La Maybach Brabus

Si d’aucuns estimaient que la Maybach constituait un summum en matière de luxe et de technologie automobile, il faudra dorénavant revoir ce jugement. Brabus, bien connu des amateurs pour ses préparations Mercedes, s’est attaqué à la Maybach pour en proposer une version encore plus incroyable.
Les designers se sont d’abord intéressé à l’aménagement intérieur qui a complètement été repensé en bureau de très grand luxe. Si les peausseries (cuirs et Alcanthara) sont encore plus fines et délicates, la Maybach Brabus ne sacrifie rien à la modernité avec des équipements électroniques ultra performants (ordinateurs, connections haut débit, équipement audio-vidéo de prestige…). Reconnaissable à ses jantes spécifiques de 21 pouces, cetteMaybach Brabus se distingue également par ses phares auxiliaires avant.
Côté moteur les ingénieurs de chez Brabus ont retravaillé le V12 bi-turbo qui délivre dorénavant 640 ch (contre 550 ch pour la version «normale») et un couple «kolossal» de 1 026 Nm (contre 900).
Ainsi transformée, cette limousine est capable d’abattre le 0 à 100 km/h en 4,9 secondes et voit sa vitesse limitée électroniquement à 300 km/h. Des valeurs jamais atteintes sur une berline.
Les designers se sont d’abord intéressé à l’aménagement intérieur qui a complètement été repensé en bureau de très grand luxe. Si les peausseries (cuirs et Alcanthara) sont encore plus fines et délicates, la Maybach Brabus ne sacrifie rien à la modernité avec des équipements électroniques ultra performants (ordinateurs, connections haut débit, équipement audio-vidéo de prestige…). Reconnaissable à ses jantes spécifiques de 21 pouces, cetteMaybach Brabus se distingue également par ses phares auxiliaires avant.
Côté moteur les ingénieurs de chez Brabus ont retravaillé le V12 bi-turbo qui délivre dorénavant 640 ch (contre 550 ch pour la version «normale») et un couple «kolossal» de 1 026 Nm (contre 900).
Ainsi transformée, cette limousine est capable d’abattre le 0 à 100 km/h en 4,9 secondes et voit sa vitesse limitée électroniquement à 300 km/h. Des valeurs jamais atteintes sur une berline.
MAYBACH 62
Une lutte sans merci oppose, pour la conquête de l'Olympe automobile, les trois spécialistes allemands du haut de gamme, le groupe Volkswagen avec Audi, BMW et Mercedes-Benz. Si la marque bavaroise devra attendre 2003 pour prendre possession de Rolls-Royce, on sait que Volkswagen est déjà propriétaire de Bentley. Pourtant, dans ce contexte de surenchère pour s'assurer le leadership du prestige, c'est Mercedes-Benz qui a pris une longueur d'avance avec le lancement de la Maybach.


Pour ce faire, Daimler-Benz a d'abord ressuscité la marque Maybach. Collaborateur de Gottlieb Daimler, Wilhelm Maybachs'est lancé dans la construction de voitures de prestige à partir de 1922. Mais c'est au cours des années trente que la firme atteint les sommets du luxe avec la DS8 Zeppelin motorisée par un V12 de huit litres. La production des Maybach, fabriquées à Friedrichshafen, au bord du lac de Constance, cesse en 1941. La renaissance de la marque a pour cadre le salon de Tokyo de 1997, quand Mercedes-Benz présente un concept car baptisé Maybach et dessiné sous la direction du Français Olivier Boulay.
Après un tour du monde de mondanités, où la jet-set est invitée à donner son avis sur la voiture, le projet est finalisé. Une unité de production spécialement dédiée à la Maybach est mise en place à Sindelfingen, où high-tech et tradition de l'artisanat de luxe font bon ménage. Construite pour l'essentiel à la main, la voiture est présentée en première mondiale à New York en juillet 2002. Le Mondial de Paris constitue sa première européenne.
Vaisseau amiral du groupe DaimlerChrysler, la Maybach apparaît comme un vaste paquebot regorgeant de luxe. Extrapolée de la Classe S, elle en reprend les qualités, qu'elle porte à leur paroxysme. Elle concentre toutes les sophistications technologiques imaginables, qu'il s'agisse de la mécanique, du confort ou la sécurité active et passive (dix airbags).
Après un tour du monde de mondanités, où la jet-set est invitée à donner son avis sur la voiture, le projet est finalisé. Une unité de production spécialement dédiée à la Maybach est mise en place à Sindelfingen, où high-tech et tradition de l'artisanat de luxe font bon ménage. Construite pour l'essentiel à la main, la voiture est présentée en première mondiale à New York en juillet 2002. Le Mondial de Paris constitue sa première européenne.
Vaisseau amiral du groupe DaimlerChrysler, la Maybach apparaît comme un vaste paquebot regorgeant de luxe. Extrapolée de la Classe S, elle en reprend les qualités, qu'elle porte à leur paroxysme. Elle concentre toutes les sophistications technologiques imaginables, qu'il s'agisse de la mécanique, du confort ou la sécurité active et passive (dix airbags).


A l'image de ses ancêtres, la Maybach est animée par un V12 (5,5 litres). Dérivé du moteur de la S 600, il développe 550 ch, avec un couple de 900 Nm, grâce à la présence d'un double turbo. La transmission est confiée à une boîte de vitesses automatique à cinq rapports. Malgré le poids, les accélérations sont dignes d'une voiture de sport, le kilomètre départ arrêté étant parcouru en 5,4 secondes - la vitesse est plafonnée à 250 km/h.
La Maybach est équipée d'une suspension pneumatique Airmatic DC (pour double contrôle) à correcteur d'assiette automatique. Quant aux freins, ils sont gérés par un système électro-hydraulique appelé Sensotronic Brake Control et ils cumulent toutes les assistances possibles (ABS, ESP, ASR).
La Maybach est équipée d'une suspension pneumatique Airmatic DC (pour double contrôle) à correcteur d'assiette automatique. Quant aux freins, ils sont gérés par un système électro-hydraulique appelé Sensotronic Brake Control et ils cumulent toutes les assistances possibles (ABS, ESP, ASR).


La carrosserie est réalisée en acier avec les ouvrants, les ailes et le toit en aluminium. Deux versions sont disponibles : la 62 (modèle long) et la 57 (modèle court dévoilé au Mondial de Paris). Les prix s'échelonnent de 310 000€ à 417 600€ ! Les prévisions annuelles de production s'élèvent à mille voitures, dont près de la moitié pour le marché américain.
Un " Centre d'excellence " situé près de l'usine de Sindelfingen - et dont la construction a coûté dix millions d'euros - est prêt à accueillir les (très riches) clients, tandis que des PLMs (Personal Liaison Managers) et leur service seront disponibles 24 heures sur 24 par téléphone pour assurer un service après-vente d'exception…
Un " Centre d'excellence " situé près de l'usine de Sindelfingen - et dont la construction a coûté dix millions d'euros - est prêt à accueillir les (très riches) clients, tandis que des PLMs (Personal Liaison Managers) et leur service seront disponibles 24 heures sur 24 par téléphone pour assurer un service après-vente d'exception…


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