Né d'une famille d'artistes établie à Milan, Ettore Bugatti fonde son entreprise à Molsheim-Dorlisheim en Alsace (alors sous occupation allemande) en 1909.
Sa première voiture, la Type 13, rencontre un succès immédiat en course malgré sa faible cylindrée, mais grâce à son poids plume et sa tenue de route exceptionnelle. Pendant la première Guerre mondiale, Ettore Bugatti travaille pour la France en concevant des moteurs d'avion. En août 1924, il présente sa fameuse Type 35 qui glanera plus de 2 000 victoires en compétition, record inégalé à ce jour. À partir de 1931, le moteur Type 41 de 12,7 l trouvera une autre utilisation dans les autorails ; ce qui sauvera l'usine de la faillite dans les années noires de l'après crise de 1929. Bugatti remporta deux fois les 24 heures du Mans en 1937 et 1939. Le fils d'Ettore, Jean Bugatti, se tua le 11 août 1939 à l'âge de 30 ans en essayant une Type 57C près de l'usine. Ettore Bugatti mourut le 21 août 1947 après les difficultés liées à la seconde Guerre mondiale ; cela entraîna la disparition de la marque en 1963. Après une première relance par Romano Artioli en 1987, le groupe Volkswagen l’a a nouveau relancé sous le nom « Bugatti Automobiles SAS ». Bugatti est devenu le constructeur automobile alsacien le plus réputé pour ses voitures de course, avec ses légendaires bolides bleus au radiateur en fer à cheval et leur palmarès inégalé, mais aussi avec ses modèles de prestige comme la Royale. Il y a aujourd’hui un Musée national français Bugatti à Mulhouse, considéré comme l'un des plus beaux musées de l'automobile. |
Bugatti : une succession pour la Veyron
Chez Bugatti, les prochains mois seront consacrés à la production de la Veyron Grand Sport, version découvrable de la supercar, ainsi qu'au développement et au lancement de la berline Galibier (prévu pour 2012).
Mais une fois les 150 exemplaires de la Grand Sport produits, la Galibier pourrait ne pas être seule au programme. C'est ce que vient de révéler le patron de la marque, Wolfgang Durheimer. Les équipes Bugattin'auraient en effet aucune intention de perdre la course à la vitesse, alors que le coupé Bugatti Veyron Super Sport a l'an passé été déclaré modèle de production le plus rapide de la planète avec 431 km/h en pointe.
W. Durheimer aura avoué à Car magazine que ce titre demeure aujourd'hui "vital" pour l'image de l'entreprise. Il aura ensuite ajouté que Bugatti "répondrait" si un véhicule venait à battre le record de la Super Sport. « Tout cela est humain, encore aujourd'hui nous voulons savoir qui court le 100 m le plus vite. C'est la même chose avec les voitures. »
Une déclaration qui fait suite à la présentation il y a peu de l'américaine SSC Tuatara, conçue pour atteindre une vitesse de pointe de 442 km/h.
Mais une fois les 150 exemplaires de la Grand Sport produits, la Galibier pourrait ne pas être seule au programme. C'est ce que vient de révéler le patron de la marque, Wolfgang Durheimer. Les équipes Bugattin'auraient en effet aucune intention de perdre la course à la vitesse, alors que le coupé Bugatti Veyron Super Sport a l'an passé été déclaré modèle de production le plus rapide de la planète avec 431 km/h en pointe.
W. Durheimer aura avoué à Car magazine que ce titre demeure aujourd'hui "vital" pour l'image de l'entreprise. Il aura ensuite ajouté que Bugatti "répondrait" si un véhicule venait à battre le record de la Super Sport. « Tout cela est humain, encore aujourd'hui nous voulons savoir qui court le 100 m le plus vite. C'est la même chose avec les voitures. »
Une déclaration qui fait suite à la présentation il y a peu de l'américaine SSC Tuatara, conçue pour atteindre une vitesse de pointe de 442 km/h.
Delahaye ré-invente la Bugatti Type 57S
Delahaye USA vient de présenter son nouveau concept inspiré de la Bugatti Type 57S.
Il aura fallut trois ans de travail pour que la Bugatti Type 57S Bella Figura Coupé soit crée par l'équipe Delahaye USA. Ce modèle est un hommage à Jean Bugatti.
Bien plus qu'une reproduction de la voiture, ce nouveau concept est un mélange du style des années 30 et de la technologie d'aujourd'hui, avec l'emploi de fibre de carbone et d'aluminium mais aussi la présence d'un ABS, de la direction assistée ou de la climatisation.
Côté motorisation, les clients pourront choisir entre le V8 6,2 litres de 556 chevaux de Cadillac, un 6 cylindres de chez Jaguar ou un V12 Mercedes biturbo réalise par RENNtech. Un V12 BMW M70 pourrait également faire son apparition sur la liste.
Nous ne connaissons pas encore le prix d'un modèle mais il risque d'être élevé, le châssis en aluminium coûtant à lui seul 190 000 dollars.
Réalisée en série limitée, la Bella Figura Coupé sera produite à partir du mois de novembre.
Il aura fallut trois ans de travail pour que la Bugatti Type 57S Bella Figura Coupé soit crée par l'équipe Delahaye USA. Ce modèle est un hommage à Jean Bugatti.
Bien plus qu'une reproduction de la voiture, ce nouveau concept est un mélange du style des années 30 et de la technologie d'aujourd'hui, avec l'emploi de fibre de carbone et d'aluminium mais aussi la présence d'un ABS, de la direction assistée ou de la climatisation.
Côté motorisation, les clients pourront choisir entre le V8 6,2 litres de 556 chevaux de Cadillac, un 6 cylindres de chez Jaguar ou un V12 Mercedes biturbo réalise par RENNtech. Un V12 BMW M70 pourrait également faire son apparition sur la liste.
Nous ne connaissons pas encore le prix d'un modèle mais il risque d'être élevé, le châssis en aluminium coûtant à lui seul 190 000 dollars.
Réalisée en série limitée, la Bella Figura Coupé sera produite à partir du mois de novembre.
300 Bugatti Veyron et le compte y est
C'était l'objectif de Bugatti lorsqu'en novembre 2005, la Veyron débutait sa carrière : 300 spécimens de ce coupé 16.4 allaient être produits. Véhicule de tous les superlatifs avec son W16, ses 24 litres d'huile, 1 001 ch, 1 250 Nm ou 407 km/h, la Veyron vient de trouver son ultime acquéreur (un client européen dont c'est la 1ère Bugatti). Ultime, ou presque. Si tous les modèles coupés ont effectivement trouvé preneurs, restent encore les modèles découvrables baptisés Grand Sport et munis d'un toit en verre escamotable. Molsheim a prévu d'en offrir 150 exemplaires contre près d'1,7 M€. Rien n'est trop beau, rien n'est trop cher dit-on en Alsace.
En six ans de production, la Veyron aura connu de nombreuses séries spéciales (Pur Sang, Sang noir, Fbg par Hermès, Bleu centenaire, et d'autres) qui s'en tenaient pour leur part au chapitre cosmétique, ainsi que la très impressionnante Veyron Super Sport. Apparue fin 2010, cette dernière est devenue l'auto de production la plus rapide de l'histoire après avoir atteint les 431 km/h grâce à sa carrosserie retravaillée, plus aérodynamique, ou ses 1 200 ch et 1 500 Nm (35 exemplaires, 2,3 M€).
Reste maintenant pour Bugatti à écouler ses roadsters Grand Sport, puis à préparer l'avenir. Il devrait s'articuler autour d'un modèle à quatre portes, quatre places, dérivant du concept 16C Galibier de 2009. Ce dernier était là encore muni d'un W16 8.0, cette fois placé à l'avant et doublement compressé.
En six ans de production, la Veyron aura connu de nombreuses séries spéciales (Pur Sang, Sang noir, Fbg par Hermès, Bleu centenaire, et d'autres) qui s'en tenaient pour leur part au chapitre cosmétique, ainsi que la très impressionnante Veyron Super Sport. Apparue fin 2010, cette dernière est devenue l'auto de production la plus rapide de l'histoire après avoir atteint les 431 km/h grâce à sa carrosserie retravaillée, plus aérodynamique, ou ses 1 200 ch et 1 500 Nm (35 exemplaires, 2,3 M€).
Reste maintenant pour Bugatti à écouler ses roadsters Grand Sport, puis à préparer l'avenir. Il devrait s'articuler autour d'un modèle à quatre portes, quatre places, dérivant du concept 16C Galibier de 2009. Ce dernier était là encore muni d'un W16 8.0, cette fois placé à l'avant et doublement compressé.
Bugatti Veyron : énième série spéciale
Alors que quelques exemplaires de Bugatti Veyron restent à pourvoir, Molsheim revient à la charge en présentant à Shanghai deux nouvelles séries versions uniques de la supercar, basées sur le cabriolet Grand Sport et le coupé Super Sport.
La Veyron Grand Sport arbore donc pour cette version une peinture blanche matte contrastée par du carbone bleu. On retrouve ce même bleu dans l'habitacle, également habillé de surpiqûres blanches.
La version Super Sport de 1.200 chevaux adopte pour sa part une finition en carbone noir et un intérieur en cuir beige et bleu nuit rehaussé de touches de carbone.
Pas grand chose à ajouter sur ces éditions spéciales ayant un gout de déjà-vu. Attendons désormais que la production de la Veyron soit terminée pour se tourner vers l'avenir, probablement avec une version de série du concept Galibier.
La Veyron Grand Sport arbore donc pour cette version une peinture blanche matte contrastée par du carbone bleu. On retrouve ce même bleu dans l'habitacle, également habillé de surpiqûres blanches.
La version Super Sport de 1.200 chevaux adopte pour sa part une finition en carbone noir et un intérieur en cuir beige et bleu nuit rehaussé de touches de carbone.
Pas grand chose à ajouter sur ces éditions spéciales ayant un gout de déjà-vu. Attendons désormais que la production de la Veyron soit terminée pour se tourner vers l'avenir, probablement avec une version de série du concept Galibier.
Feu vert pour la Bugatti Galibier ?
Depuis sa présentation en 2009, la Bugatti Galibier 16C Concept a été l'objet de tous les fantasmes. Avec la Veyron au bord de la retraite, le constructeur franco-allemand doit en effet envisager son avenir et l'idée d'une berline sportive ultra-luxueuse est plus que logique à une époque où les Aston Martin Rapide et autres Porsche Panamera sont de plus en plus nombreuses à remplir les garages des fortunes du monde.
Selon Bloomberg, Volkswagen aurait enfin donné le feu vert au projet, qui pourrait devenir une réalité d'ici 2013 - 2014.
Si c'est le cas, la Bugatti devrait être motorisée par une version légèrement moins virulente du W16 quadriturbo de la Veyron. Plus douteux, certains bruits de couloirs affirment que la berline qui sera fabriquée à Molsheim reposerait sur une plate-forme d'Audi A8…
Selon Bloomberg, Volkswagen aurait enfin donné le feu vert au projet, qui pourrait devenir une réalité d'ici 2013 - 2014.
Si c'est le cas, la Bugatti devrait être motorisée par une version légèrement moins virulente du W16 quadriturbo de la Veyron. Plus douteux, certains bruits de couloirs affirment que la berline qui sera fabriquée à Molsheim reposerait sur une plate-forme d'Audi A8…
Bugatti Veyron Super Sport
La célèbre Bugatti Veyron Super Sport est présente au Salon de Genève, arborant son titre de "voiture la plus rapide au monde".
Rappelons que cette fusée accueille un W16 développant 1200 chevaux pour 1500 Nm de couple. La Bugatti atteint une vitesse de pointe bridée à 415 km/h et son record est de 431 km/h. Le 0 à 100 est atteint en 2.5 secondes.
C'est sûr, la Bugatti Veyron Super Sport attirera de nombreux regards sur le Salon de Genève.
Rappelons que cette fusée accueille un W16 développant 1200 chevaux pour 1500 Nm de couple. La Bugatti atteint une vitesse de pointe bridée à 415 km/h et son record est de 431 km/h. Le 0 à 100 est atteint en 2.5 secondes.
C'est sûr, la Bugatti Veyron Super Sport attirera de nombreux regards sur le Salon de Genève.
Bugatti : une berline pour 2014
Selon le magazine allemand Der Spiegel, Bugatti devrait arrêter la production de la Veyron pour se focaliser sur celle d'une berline dès 2014.
Malgré le prix hors-norme de ses supercars, Bugatti est un constructeur peu rentable, 300 exemplaires ont été prévus pour le coupé Veyron et tous les véhicules n'ont pas trouvé preneurs. La maison mère Volkswagen souhaite donc apporter un nouveau souffle à Bugatti.
Le constructeur de Molsheim va donc se tourner vers la production de berline haut de gamme. Le premier véhicule à l'étude serait basé sur la plateforme de l'Audi A8 et inspiré par le concept Galibier 16C présenté en 2009 en marge du Salon de Genève.
Mais ne soyons pas inquiets, Bugatti rimera toujours avec luxe, exclusivité et performances de haute volée.
Malgré le prix hors-norme de ses supercars, Bugatti est un constructeur peu rentable, 300 exemplaires ont été prévus pour le coupé Veyron et tous les véhicules n'ont pas trouvé preneurs. La maison mère Volkswagen souhaite donc apporter un nouveau souffle à Bugatti.
Le constructeur de Molsheim va donc se tourner vers la production de berline haut de gamme. Le premier véhicule à l'étude serait basé sur la plateforme de l'Audi A8 et inspiré par le concept Galibier 16C présenté en 2009 en marge du Salon de Genève.
Mais ne soyons pas inquiets, Bugatti rimera toujours avec luxe, exclusivité et performances de haute volée.
Une Bugatti Veyron à votre image
On ne présente plus la Bugatti Veyron, voiture parmi les plus exclusives du monde. Afin de séduire de nouveaux clients, le petit constructeur a toutefois donné un coup de jeune à son configurateur en ligne.
Celui-ci permet désormais aux internautes de décorer selon leurs envies la supercar. Un éventail de couleurs, de teintes pour les admissions d'air ou plus d'une vingtaine de cuirs pour l'habitacle sont ainsi proposés. Pour mémoire, la Bugatti « de base » est catapultée par un W16 quadriturbo de 8 litres et grimpe jusqu'à 408 km/h.
Celui-ci permet désormais aux internautes de décorer selon leurs envies la supercar. Un éventail de couleurs, de teintes pour les admissions d'air ou plus d'une vingtaine de cuirs pour l'habitacle sont ainsi proposés. Pour mémoire, la Bugatti « de base » est catapultée par un W16 quadriturbo de 8 litres et grimpe jusqu'à 408 km/h.
Bugatti lance la Veyron Super Sport
Chez Bugatti, le lancement d'une voiture ressemble à un décollage de fusée. Avec la Veyron, les chiffres marquants étaient 1001 chevaux et plus de 400 km/h. Alors pour une nouvelle déclinaison repoussant encore la barre un peu plus loin, il fallait bien donner dans le supersonique.
Avec un aller à 427,933 km/h et un retour à 434,211 km/h pour un record établi à 431,211 km/h, on peut sans problème admettre que la Bugatti Veyron Super Sport correspond aux critères…
Pour atteindre ce résultat, les ingénieurs de Bugatti ont retravaillé le W16 au niveau du turbo et de l'échangeur afin d'en tirer la bagatelle de… 1200 chevaux !
Au passage, le couple déjà phénoménal grimpe également pour atteindre les 1500 Nm.
Afin de rester stable à sa nouvelle vitesse de pointe (tout de même limitée à 415 km/h pour les versions clients), les trains roulants ont également été revus (suspensions, amortisseurs, barres stabilisatrices).
La coque et la carrosserie sont quant à elles constituées d'une fibre de carbone dans un nouveau tramage pour une meilleur rigidité.
Du côté de l'esthétique, cette Bugatti Veyron Super Sport se distingue de sa petite soeur par des prises d'air avant modifiées et une partie arrière largement revue.
Sa présentation publique aura lieu cet été au concours d'élégance de Pebble Beach. Dernier détail, les 30 exemplaires prévus seront facturés 1 650 000 euros hors taxes…
Avec un aller à 427,933 km/h et un retour à 434,211 km/h pour un record établi à 431,211 km/h, on peut sans problème admettre que la Bugatti Veyron Super Sport correspond aux critères…
Pour atteindre ce résultat, les ingénieurs de Bugatti ont retravaillé le W16 au niveau du turbo et de l'échangeur afin d'en tirer la bagatelle de… 1200 chevaux !
Au passage, le couple déjà phénoménal grimpe également pour atteindre les 1500 Nm.
Afin de rester stable à sa nouvelle vitesse de pointe (tout de même limitée à 415 km/h pour les versions clients), les trains roulants ont également été revus (suspensions, amortisseurs, barres stabilisatrices).
La coque et la carrosserie sont quant à elles constituées d'une fibre de carbone dans un nouveau tramage pour une meilleur rigidité.
Du côté de l'esthétique, cette Bugatti Veyron Super Sport se distingue de sa petite soeur par des prises d'air avant modifiées et une partie arrière largement revue.
Sa présentation publique aura lieu cet été au concours d'élégance de Pebble Beach. Dernier détail, les 30 exemplaires prévus seront facturés 1 650 000 euros hors taxes…
Bugatti pousse encore la Veyron
La Bugatti Veyron ne peut pas être considérée comme sous-motorisée. Pourtant…
Ferdinand Piëch aurait déclaré lors d'une conférence que Bugatti travaillait sur une version encore plus radicale de la Veyron.
Mais comment radicaliser une voiture affichant déjà 1001 chevaux ? C'est simple, en tirant 1200 chevaux de son W16 gavé par 4 turbos !
La vitesse de pointe sera largement au delà des 400 km/h et le tarif dépassera allègrement les 1,5 millions de $.
Voila qui sera une belle façon de conclure la carrière de la supercar de tous les superlatifs, avant l'arrivée d'un modèle de remplacement et / ou de la berline Galibier.
Ferdinand Piëch aurait déclaré lors d'une conférence que Bugatti travaillait sur une version encore plus radicale de la Veyron.
Mais comment radicaliser une voiture affichant déjà 1001 chevaux ? C'est simple, en tirant 1200 chevaux de son W16 gavé par 4 turbos !
La vitesse de pointe sera largement au delà des 400 km/h et le tarif dépassera allègrement les 1,5 millions de $.
Voila qui sera une belle façon de conclure la carrière de la supercar de tous les superlatifs, avant l'arrivée d'un modèle de remplacement et / ou de la berline Galibier.
Bugatti 57SC Atlantic, la plus chère
Une Bugatti Type 57SC Atlantic a pulvérisé tous les records de ventes ce week-end lors d'une vente privée gérée par la maison de ventes aux enchères Gooding & Company.
Anciennement propriété du collectionneur Peter D Williamson, cette Type 57SC est l'un des 3 exemplaires existant dans le monde.
Dessinée par le fils d'Ettore, Jean Bugatti, celle-ci est un véritable mythe automobile, considérée par beaucoup comme une auto parfaite et reconnue pour avoir été incroyablement en avance sur son époque.
Cela explique donc qu'elle se soit échangée contre une somme folle, variant entre 30 et 40 millions de dollars US (entre 23 et 31 millions d'euros !) selon les sources.
Même avec le prix le plus bas évoqué, l'acheteur anonyme reste bien au dessus du précédent record de prix pour une voiture. Celui-ci était détenue par une Ferrari 250 Testa Rossa de 1957 qui s'était échangée contre 12,2 millions de dollars US en 2009.
Anciennement propriété du collectionneur Peter D Williamson, cette Type 57SC est l'un des 3 exemplaires existant dans le monde.
Dessinée par le fils d'Ettore, Jean Bugatti, celle-ci est un véritable mythe automobile, considérée par beaucoup comme une auto parfaite et reconnue pour avoir été incroyablement en avance sur son époque.
Cela explique donc qu'elle se soit échangée contre une somme folle, variant entre 30 et 40 millions de dollars US (entre 23 et 31 millions d'euros !) selon les sources.
Même avec le prix le plus bas évoqué, l'acheteur anonyme reste bien au dessus du précédent record de prix pour une voiture. Celui-ci était détenue par une Ferrari 250 Testa Rossa de 1957 qui s'était échangée contre 12,2 millions de dollars US en 2009.
Bugatti : une succession pour la Veyron
Chez Bugatti, les prochains mois seront consacrés à la production de la Veyron Grand Sport, version découvrable de la supercar, ainsi qu'au développement et au lancement de la berline Galibier (prévu pour 2012).
Mais une fois les 150 exemplaires de la Grand Sport produits, la Galibier pourrait ne pas être seule au programme. C'est ce que vient de révéler le patron de la marque, Wolfgang Durheimer. Les équipes Bugattin'auraient en effet aucune intention de perdre la course à la vitesse, alors que le coupé Bugatti Veyron Super Sport a l'an passé été déclaré modèle de production le plus rapide de la planète avec 431 km/h en pointe.
W. Durheimer aura avoué à Car magazine que ce titre demeure aujourd'hui "vital" pour l'image de l'entreprise. Il aura ensuite ajouté que Bugatti "répondrait" si un véhicule venait à battre le record de la Super Sport. « Tout cela est humain, encore aujourd'hui nous voulons savoir qui court le 100 m le plus vite. C'est la même chose avec les voitures. »
Une déclaration qui fait suite à la présentation il y a peu de l'américaine SSC Tuatara, conçue pour atteindre une vitesse de pointe de 442 km/h.
Mais une fois les 150 exemplaires de la Grand Sport produits, la Galibier pourrait ne pas être seule au programme. C'est ce que vient de révéler le patron de la marque, Wolfgang Durheimer. Les équipes Bugattin'auraient en effet aucune intention de perdre la course à la vitesse, alors que le coupé Bugatti Veyron Super Sport a l'an passé été déclaré modèle de production le plus rapide de la planète avec 431 km/h en pointe.
W. Durheimer aura avoué à Car magazine que ce titre demeure aujourd'hui "vital" pour l'image de l'entreprise. Il aura ensuite ajouté que Bugatti "répondrait" si un véhicule venait à battre le record de la Super Sport. « Tout cela est humain, encore aujourd'hui nous voulons savoir qui court le 100 m le plus vite. C'est la même chose avec les voitures. »
Une déclaration qui fait suite à la présentation il y a peu de l'américaine SSC Tuatara, conçue pour atteindre une vitesse de pointe de 442 km/h.
Bugatti Veyron Grand Sport, grand final
La production de coupés Bugatti Veyron s'est terminée il y a peu. Les 300 exemplaires prévus ont été fabriqués et comme bouquet final, on se souvient que Molsheim aura réalisé 30 unités de la Veyron Super Sport, plus puissante et profilée. Devenue par la même occasion la voiture de route la plus rapide de tous les temps, elle clôturait la carrière du coupé Veyron en fanfare et en coup de vent ; 431 km/h !
Aujourd'hui, Bugatti n'en a pas encore finit avec la Veyron, alors qu'il reste les modèles découvrables Grand Sport à produire. Il en est prévu un total de 150. Une quarantaine auraient déjà trouvé preneurs selon Wolfgang Durheimer, président de la marque, qui aura d'ailleurs précisé qu'un prospère client du Moyen Orient en a acheté huit – deux pour lui, les autres pour des amis... (On rappellera que la pièce vaut par chez nous 1,5 M€, et que l'amitié n'a pas de prix.) Mais à l'image du coupé et afin de clore la production de la Grand Sport par un petit quelque chose, Bugatti pourrait à nouveau créer un modèle très spécial de la supercar.
C'est ce que rapporte "De Telegraaf Autovisie". Dans une interview avec le média néerlandais, W. Durheimer avoue qu'il pourrait en effet y avoir une version 'à hautes performances' de la Veyron Grand Sport (sic). L'homme aura écarté l'idée d'une déclinaison Super Sport. De part son aspect ouvert, il est en effet déconseillé à la Grand Sport de dépasser les 360 km/h. Mais il déclarait que « plus de 1 001 ch est une vraie possibilité ».
Aujourd'hui, Bugatti n'en a pas encore finit avec la Veyron, alors qu'il reste les modèles découvrables Grand Sport à produire. Il en est prévu un total de 150. Une quarantaine auraient déjà trouvé preneurs selon Wolfgang Durheimer, président de la marque, qui aura d'ailleurs précisé qu'un prospère client du Moyen Orient en a acheté huit – deux pour lui, les autres pour des amis... (On rappellera que la pièce vaut par chez nous 1,5 M€, et que l'amitié n'a pas de prix.) Mais à l'image du coupé et afin de clore la production de la Grand Sport par un petit quelque chose, Bugatti pourrait à nouveau créer un modèle très spécial de la supercar.
C'est ce que rapporte "De Telegraaf Autovisie". Dans une interview avec le média néerlandais, W. Durheimer avoue qu'il pourrait en effet y avoir une version 'à hautes performances' de la Veyron Grand Sport (sic). L'homme aura écarté l'idée d'une déclinaison Super Sport. De part son aspect ouvert, il est en effet déconseillé à la Grand Sport de dépasser les 360 km/h. Mais il déclarait que « plus de 1 001 ch est une vraie possibilité ».
Bugatti Veyron VS Nissan GTR R-35
Delahaye ré-invente la Bugatti Type 57S
Delahaye USA vient de présenter son nouveau concept inspiré de la Bugatti Type 57S.
Il aura fallut trois ans de travail pour que la Bugatti Type 57S Bella Figura Coupé soit crée par l'équipe Delahaye USA. Ce modèle est un hommage à Jean Bugatti.
Bien plus qu'une reproduction de la voiture, ce nouveau concept est un mélange du style des années 30 et de la technologie d'aujourd'hui, avec l'emploi de fibre de carbone et d'aluminium mais aussi la présence d'un ABS, de la direction assistée ou de la climatisation.
Côté motorisation, les clients pourront choisir entre le V8 6,2 litres de 556 chevaux de Cadillac, un 6 cylindres de chez Jaguar ou un V12 Mercedes biturbo réalise par RENNtech. Un V12 BMW M70 pourrait également faire son apparition sur la liste.
Nous ne connaissons pas encore le prix d'un modèle mais il risque d'être élevé, le châssis en aluminium coûtant à lui seul 190 000 dollars.
Réalisée en série limitée, la Bella Figura Coupé sera produite à partir du mois de novembre.
Il aura fallut trois ans de travail pour que la Bugatti Type 57S Bella Figura Coupé soit crée par l'équipe Delahaye USA. Ce modèle est un hommage à Jean Bugatti.
Bien plus qu'une reproduction de la voiture, ce nouveau concept est un mélange du style des années 30 et de la technologie d'aujourd'hui, avec l'emploi de fibre de carbone et d'aluminium mais aussi la présence d'un ABS, de la direction assistée ou de la climatisation.
Côté motorisation, les clients pourront choisir entre le V8 6,2 litres de 556 chevaux de Cadillac, un 6 cylindres de chez Jaguar ou un V12 Mercedes biturbo réalise par RENNtech. Un V12 BMW M70 pourrait également faire son apparition sur la liste.
Nous ne connaissons pas encore le prix d'un modèle mais il risque d'être élevé, le châssis en aluminium coûtant à lui seul 190 000 dollars.
Réalisée en série limitée, la Bella Figura Coupé sera produite à partir du mois de novembre.
La Bugatti Galibier arrivera en 2012
Le patron de Bugatti, Wolfgang Durheimer, l'a confirmé, la future Galibier sera en vente dès l'automne 2012. La production sera comprise entre 1 000 et 1 500 exemplaires.
Le patron de Bugatti a confirmé l'information au magazine allemand "Auto Motor und Sport" mais il n'a pas dévoilé le nom de la future berline, Galibier ou Royale ? la question reste ouverte.
Les performances exactes n'ont pas étés révélées mais on peut déjà supposer un bloc 16 cylindres développant une puissance comprise entre 800 et 1 000 chevaux.
« Avec notamment ses quatre places et son grand volume de coffre, la Galibier sera encore plus intéressante que la Veyron. Du coup, même si nous envisageons tous les scenari, nous en produirons au minimum 500 unités, et plus sûrement entre 1 000 et 1500. Nous allons fixer le prix à la fin, mais il devrait être à 7 chiffres, c'est-à-dire à plus d'un million d'euros. L'objectif, c'est que la Galibier devienne la référence absolue dans le segment des berlines quatre portes » explique le patron de Bugatti.
Il faudra encore patienter en attendant l'automne 2012 ou de nouvelles informations, probablement lors du prochain Salon de Genève 2012.
Le patron de Bugatti a confirmé l'information au magazine allemand "Auto Motor und Sport" mais il n'a pas dévoilé le nom de la future berline, Galibier ou Royale ? la question reste ouverte.
Les performances exactes n'ont pas étés révélées mais on peut déjà supposer un bloc 16 cylindres développant une puissance comprise entre 800 et 1 000 chevaux.
« Avec notamment ses quatre places et son grand volume de coffre, la Galibier sera encore plus intéressante que la Veyron. Du coup, même si nous envisageons tous les scenari, nous en produirons au minimum 500 unités, et plus sûrement entre 1 000 et 1500. Nous allons fixer le prix à la fin, mais il devrait être à 7 chiffres, c'est-à-dire à plus d'un million d'euros. L'objectif, c'est que la Galibier devienne la référence absolue dans le segment des berlines quatre portes » explique le patron de Bugatti.
Il faudra encore patienter en attendant l'automne 2012 ou de nouvelles informations, probablement lors du prochain Salon de Genève 2012.
Enchères : Bugatti Type 57 Stelvio 1938
Avec les Type 35 et Royale, la Type 57 reste la plus célèbre des Bugatti, et fait souvent son apparition au cours de prestigieuses enchères. Celles organisées le mois prochain par RM Auctions à l'occasion du Concours d'Elégance de Pebble Beach ne feront pas mentir cette tradition.
Produite en une multitude de carrosseries, la Type 57 sera ici proposée dans une version découvrable datant de 1938 : l'élégant cabriolet Stelvio. Tandis que les modèles Galibier ou Ventoux sortaient directement des ateliers de Molsheim, la Stelvio tout comme le cabriolet Atalante étaient quant à eux fabriqués chez Gangloff à Colmar. Il se dit que ce modèle particulier aurait été commandé à l'époque par la famille Pernod, et qu'il possède une documentation complète de son histoire. Il conserve son huit cylindres en ligne 3.3 litres originel ainsi que sa boîte à quatre rapports.
L'auto est estimée entre 700 000 et 800 000 $, de 490 000 à 560 000 €.
Produite en une multitude de carrosseries, la Type 57 sera ici proposée dans une version découvrable datant de 1938 : l'élégant cabriolet Stelvio. Tandis que les modèles Galibier ou Ventoux sortaient directement des ateliers de Molsheim, la Stelvio tout comme le cabriolet Atalante étaient quant à eux fabriqués chez Gangloff à Colmar. Il se dit que ce modèle particulier aurait été commandé à l'époque par la famille Pernod, et qu'il possède une documentation complète de son histoire. Il conserve son huit cylindres en ligne 3.3 litres originel ainsi que sa boîte à quatre rapports.
L'auto est estimée entre 700 000 et 800 000 $, de 490 000 à 560 000 €.
Bugatti Veyron Grand Sport L'Or Blanc
Adepte pour son coupé Veyron 16.4 des partenariats et séries spéciales, Bugatti n'a plus aujourd'hui que son modèle découvrable à écouler, les 300 coupés ayant été produits et vendus. C'est donc la Veyron Grand Sport qui bénéficie cette fois de l'association entre Molsheim et la Manufacture royale de porcelaine de Berlin. Les deux prouvant ici leur savoir-faire en termes d'orfèvrerie et de minutie.
Plus que jamais, gare à la casse, la Veyron Grand Sport L'Or Blanc possède de nombreux éléments de porcelaine ! On les retrouve au centre des jantes, au niveau du bouchon de réservoir ou comme emblème EB. Douze pièces de porcelaine blanche s'apposent ainsi autour de la carrosserie. À bord, de multiples incrustations sont également signées de la manufacture allemande.
Et sur l'ensemble de la carrosserie ont été peintes à la main (trois semaines durant) différentes couches de peintures alternant bleu et blanc avant vernissage. « De la porcelaine dans une voiture, qui plus est dans la décapotable la plus rapide du monde, cela peut sembler de prime abord une idée bizarre mais c'est justement là ce qui caractérise la marque : ne pas reculer devant les idées les plus absurdes, mais accepter les défis et les réaliser en privilégiant la qualité et l'esthétique. Nous sommes là tout à fait dans la tradition d'Ettore Bugatti, qui a toujours aimé expérimenter de nouveaux matériaux » explique Stefan Brungs, directeur général de Bugatti. Ce modèle littéralement unique est vendu 1,65 M€.
Plus que jamais, gare à la casse, la Veyron Grand Sport L'Or Blanc possède de nombreux éléments de porcelaine ! On les retrouve au centre des jantes, au niveau du bouchon de réservoir ou comme emblème EB. Douze pièces de porcelaine blanche s'apposent ainsi autour de la carrosserie. À bord, de multiples incrustations sont également signées de la manufacture allemande.
Et sur l'ensemble de la carrosserie ont été peintes à la main (trois semaines durant) différentes couches de peintures alternant bleu et blanc avant vernissage. « De la porcelaine dans une voiture, qui plus est dans la décapotable la plus rapide du monde, cela peut sembler de prime abord une idée bizarre mais c'est justement là ce qui caractérise la marque : ne pas reculer devant les idées les plus absurdes, mais accepter les défis et les réaliser en privilégiant la qualité et l'esthétique. Nous sommes là tout à fait dans la tradition d'Ettore Bugatti, qui a toujours aimé expérimenter de nouveaux matériaux » explique Stefan Brungs, directeur général de Bugatti. Ce modèle littéralement unique est vendu 1,65 M€.
300 Bugatti Veyron et le compte y est
C'était l'objectif de Bugatti lorsqu'en novembre 2005, la Veyron débutait sa carrière : 300 spécimens de ce coupé 16.4 allaient être produits. Véhicule de tous les superlatifs avec son W16, ses 24 litres d'huile, 1 001 ch, 1 250 Nm ou 407 km/h, la Veyron vient de trouver son ultime acquéreur (un client européen dont c'est la 1ère Bugatti). Ultime, ou presque. Si tous les modèles coupés ont effectivement trouvé preneurs, restent encore les modèles découvrables baptisés Grand Sport et munis d'un toit en verre escamotable. Molsheim a prévu d'en offrir 150 exemplaires contre près d'1,7 M€. Rien n'est trop beau, rien n'est trop cher dit-on en Alsace.
En six ans de production, la Veyron aura connu de nombreuses séries spéciales (Pur Sang, Sang noir, Fbg par Hermès, Bleu centenaire, et d'autres) qui s'en tenaient pour leur part au chapitre cosmétique, ainsi que la très impressionnante Veyron Super Sport. Apparue fin 2010, cette dernière est devenue l'auto de production la plus rapide de l'histoire après avoir atteint les 431 km/h grâce à sa carrosserie retravaillée, plus aérodynamique, ou ses 1 200 ch et 1 500 Nm (35 exemplaires, 2,3 M€).
Reste maintenant pour Bugatti à écouler ses roadsters Grand Sport, puis à préparer l'avenir. Il devrait s'articuler autour d'un modèle à quatre portes, quatre places, dérivant du concept 16C Galibier de 2009. Ce dernier était là encore muni d'un W16 8.0, cette fois placé à l'avant et doublement compressé.
En six ans de production, la Veyron aura connu de nombreuses séries spéciales (Pur Sang, Sang noir, Fbg par Hermès, Bleu centenaire, et d'autres) qui s'en tenaient pour leur part au chapitre cosmétique, ainsi que la très impressionnante Veyron Super Sport. Apparue fin 2010, cette dernière est devenue l'auto de production la plus rapide de l'histoire après avoir atteint les 431 km/h grâce à sa carrosserie retravaillée, plus aérodynamique, ou ses 1 200 ch et 1 500 Nm (35 exemplaires, 2,3 M€).
Reste maintenant pour Bugatti à écouler ses roadsters Grand Sport, puis à préparer l'avenir. Il devrait s'articuler autour d'un modèle à quatre portes, quatre places, dérivant du concept 16C Galibier de 2009. Ce dernier était là encore muni d'un W16 8.0, cette fois placé à l'avant et doublement compressé.
Van Braeckel nouveau designer Bugatti
Le designer de la Mulsanne et de la Continental GT deuxième génération, Dirk Van Braeckel vient de quitter Bentley pour rejoindre Bugatti. Le designer belge va préparer l'après Bugatti Veyron.
A 53 ans, Dirk Van Braeckel débute sa carrière dans les années 80 chez Ford avant de rejoindre Audi, trois ans plus tard. Après avoir participé aux dessins des modèles A3 et A8 il rejoint Skoda pour dessiner les modèles de base du constructeur. Depuis 2000 il est chez Bentley.
Considéré comme une des références dans le milieu, le designer fera son premier apport pour Bugatti en travaillant sur une berline 4 portes, cette dernière devrait arriver sur le marché dans les années à venir.
A 53 ans, Dirk Van Braeckel débute sa carrière dans les années 80 chez Ford avant de rejoindre Audi, trois ans plus tard. Après avoir participé aux dessins des modèles A3 et A8 il rejoint Skoda pour dessiner les modèles de base du constructeur. Depuis 2000 il est chez Bentley.
Considéré comme une des références dans le milieu, le designer fera son premier apport pour Bugatti en travaillant sur une berline 4 portes, cette dernière devrait arriver sur le marché dans les années à venir.
Crash-test Bugatti Veyron
Le responsable du site Bugattipassion.fr a dévoilé les photos sous forme de vidéo du crash-test de la BugattiVeyron. Sur ces photos on y aperçoit la Veyron coupé subissant un choc à l'avant. Si nous ne connaissons pas les conditions de réalisation de ce crash-test notamment la vitesse de la supercar, nous noterons que le berceau anti-déformation en aluminium est légèrement abîmé.
Le constructeur avait réalisé ce crash-test au cours de l'année 2004, en Allemagne. S'il est encore besoin de le rappeler, le W16 quadriturbo de la Bugatti Veyron développe 1001 chevaux et propulse la bête au dela de 400 km/h. L'histoire ne précise pas comment la voiture résiste à un choc à cette vitesse..
Le constructeur avait réalisé ce crash-test au cours de l'année 2004, en Allemagne. S'il est encore besoin de le rappeler, le W16 quadriturbo de la Bugatti Veyron développe 1001 chevaux et propulse la bête au dela de 400 km/h. L'histoire ne précise pas comment la voiture résiste à un choc à cette vitesse..
Bugatti Veyron : énième série spéciale
Alors que quelques exemplaires de Bugatti Veyron restent à pourvoir, Molsheim revient à la charge en présentant à Shanghai deux nouvelles séries versions uniques de la supercar, basées sur le cabriolet Grand Sport et le coupé Super Sport.
La Veyron Grand Sport arbore donc pour cette version une peinture blanche matte contrastée par du carbone bleu. On retrouve ce même bleu dans l'habitacle, également habillé de surpiqûres blanches.
La version Super Sport de 1.200 chevaux adopte pour sa part une finition en carbone noir et un intérieur en cuir beige et bleu nuit rehaussé de touches de carbone.
Pas grand chose à ajouter sur ces éditions spéciales ayant un gout de déjà-vu. Attendons désormais que la production de la Veyron soit terminée pour se tourner vers l'avenir, probablement avec une version de série du concept Galibier.
La Veyron Grand Sport arbore donc pour cette version une peinture blanche matte contrastée par du carbone bleu. On retrouve ce même bleu dans l'habitacle, également habillé de surpiqûres blanches.
La version Super Sport de 1.200 chevaux adopte pour sa part une finition en carbone noir et un intérieur en cuir beige et bleu nuit rehaussé de touches de carbone.
Pas grand chose à ajouter sur ces éditions spéciales ayant un gout de déjà-vu. Attendons désormais que la production de la Veyron soit terminée pour se tourner vers l'avenir, probablement avec une version de série du concept Galibier.
Feu vert pour la Bugatti Galibier ?
Depuis sa présentation en 2009, la Bugatti Galibier 16C Concept a été l'objet de tous les fantasmes. Avec la Veyron au bord de la retraite, le constructeur franco-allemand doit en effet envisager son avenir et l'idée d'une berline sportive ultra-luxueuse est plus que logique à une époque où les Aston Martin Rapide et autres Porsche Panamera sont de plus en plus nombreuses à remplir les garages des fortunes du monde.
Selon Bloomberg, Volkswagen aurait enfin donné le feu vert au projet, qui pourrait devenir une réalité d'ici 2013 - 2014.
Si c'est le cas, la Bugatti devrait être motorisée par une version légèrement moins virulente du W16 quadriturbo de la Veyron. Plus douteux, certains bruits de couloirs affirment que la berline qui sera fabriquée à Molsheim reposerait sur une plate-forme d'Audi A8…
Selon Bloomberg, Volkswagen aurait enfin donné le feu vert au projet, qui pourrait devenir une réalité d'ici 2013 - 2014.
Si c'est le cas, la Bugatti devrait être motorisée par une version légèrement moins virulente du W16 quadriturbo de la Veyron. Plus douteux, certains bruits de couloirs affirment que la berline qui sera fabriquée à Molsheim reposerait sur une plate-forme d'Audi A8…
Bugatti Veyron Super Sport
La célèbre Bugatti Veyron Super Sport est présente au Salon de Genève, arborant son titre de "voiture la plus rapide au monde".
Rappelons que cette fusée accueille un W16 développant 1200 chevaux pour 1500 Nm de couple. La Bugatti atteint une vitesse de pointe bridée à 415 km/h et son record est de 431 km/h. Le 0 à 100 est atteint en 2.5 secondes.
C'est sûr, la Bugatti Veyron Super Sport attirera de nombreux regards sur le Salon de Genève.
Rappelons que cette fusée accueille un W16 développant 1200 chevaux pour 1500 Nm de couple. La Bugatti atteint une vitesse de pointe bridée à 415 km/h et son record est de 431 km/h. Le 0 à 100 est atteint en 2.5 secondes.
C'est sûr, la Bugatti Veyron Super Sport attirera de nombreux regards sur le Salon de Genève.
Bugatti : (encore une) nouvelle Veyron ?
Bugatti semble ne pas vouloir dire au revoir à la Veyron. Ou peut-être le constructeur ne souhaite-t-il pas voir la SSC Ultimate Aero II lui reprendre son titre de voiture de série la plus rapide du monde. Toujours est-il que les Britanniques d'Auto Express rapportent cette semaine que la firme de Molsheim préparerait une nouvelle déclinaison de l'hypercar.
L'objectif serait cette fois de dépasser les 434 km/h réalisés par la Veyron Super Sport (en photo ici). Pour ce faire, le W16 quadriturbo de 1.200 chevaux équipant la Super Sport serait conservé, mais des améliorations seraient apportées au niveau du poids de la voiture. Il faut dire qu'avec 1.838 kg, la Veyron a une marge de progression... L'utilisation toujours plus massive de la fibre de carbone et d'autres alliages légers permettraient ainsi, selon Auto Express, de gagner une centaine de kilos sur la balance.
Physiquement, la voiture pourrait évoluer légèrement, tout en conservant la silhouette typique du monstre.
La rumeur voudrait que cette nouvelle mouture de Veyron soit disponible en 2013. Wait and see..
L'objectif serait cette fois de dépasser les 434 km/h réalisés par la Veyron Super Sport (en photo ici). Pour ce faire, le W16 quadriturbo de 1.200 chevaux équipant la Super Sport serait conservé, mais des améliorations seraient apportées au niveau du poids de la voiture. Il faut dire qu'avec 1.838 kg, la Veyron a une marge de progression... L'utilisation toujours plus massive de la fibre de carbone et d'autres alliages légers permettraient ainsi, selon Auto Express, de gagner une centaine de kilos sur la balance.
Physiquement, la voiture pourrait évoluer légèrement, tout en conservant la silhouette typique du monstre.
La rumeur voudrait que cette nouvelle mouture de Veyron soit disponible en 2013. Wait and see..
Bugatti : une berline pour 2014
Selon le magazine allemand Der Spiegel, Bugatti devrait arrêter la production de la Veyron pour se focaliser sur celle d'une berline dès 2014.
Malgré le prix hors-norme de ses supercars, Bugatti est un constructeur peu rentable, 300 exemplaires ont été prévus pour le coupé Veyron et tous les véhicules n'ont pas trouvé preneurs. La maison mère Volkswagen souhaite donc apporter un nouveau souffle à Bugatti.
Le constructeur de Molsheim va donc se tourner vers la production de berline haut de gamme. Le premier véhicule à l'étude serait basé sur la plateforme de l'Audi A8 et inspiré par le concept Galibier 16C présenté en 2009 en marge du Salon de Genève.
Mais ne soyons pas inquiets, Bugatti rimera toujours avec luxe, exclusivité et performances de haute volée.
Malgré le prix hors-norme de ses supercars, Bugatti est un constructeur peu rentable, 300 exemplaires ont été prévus pour le coupé Veyron et tous les véhicules n'ont pas trouvé preneurs. La maison mère Volkswagen souhaite donc apporter un nouveau souffle à Bugatti.
Le constructeur de Molsheim va donc se tourner vers la production de berline haut de gamme. Le premier véhicule à l'étude serait basé sur la plateforme de l'Audi A8 et inspiré par le concept Galibier 16C présenté en 2009 en marge du Salon de Genève.
Mais ne soyons pas inquiets, Bugatti rimera toujours avec luxe, exclusivité et performances de haute volée.
Bugatti pousse encore la Veyron
La Bugatti Veyron ne peut pas être considérée comme sous-motorisée. Pourtant…
Ferdinand Piëch aurait déclaré lors d'une conférence que Bugatti travaillait sur une version encore plus radicale de la Veyron.
Mais comment radicaliser une voiture affichant déjà 1001 chevaux ? C'est simple, en tirant 1200 chevaux de son W16 gavé par 4 turbos !
La vitesse de pointe sera largement au delà des 400 km/h et le tarif dépassera allègrement les 1,5 millions de $.
Voila qui sera une belle façon de conclure la carrière de la supercar de tous les superlatifs, avant l'arrivée d'un modèle de remplacement et / ou de la berline Galibier.
Ferdinand Piëch aurait déclaré lors d'une conférence que Bugatti travaillait sur une version encore plus radicale de la Veyron.
Mais comment radicaliser une voiture affichant déjà 1001 chevaux ? C'est simple, en tirant 1200 chevaux de son W16 gavé par 4 turbos !
La vitesse de pointe sera largement au delà des 400 km/h et le tarif dépassera allègrement les 1,5 millions de $.
Voila qui sera une belle façon de conclure la carrière de la supercar de tous les superlatifs, avant l'arrivée d'un modèle de remplacement et / ou de la berline Galibier.
Bugatti 57SC Atlantic, la plus chère
Une Bugatti Type 57SC Atlantic a pulvérisé tous les records de ventes ce week-end lors d'une vente privée gérée par la maison de ventes aux enchères Gooding & Company.
Anciennement propriété du collectionneur Peter D Williamson, cette Type 57SC est l'un des 3 exemplaires existant dans le monde.
Dessinée par le fils d'Ettore, Jean Bugatti, celle-ci est un véritable mythe automobile, considérée par beaucoup comme une auto parfaite et reconnue pour avoir été incroyablement en avance sur son époque.
Cela explique donc qu'elle se soit échangée contre une somme folle, variant entre 30 et 40 millions de dollars US (entre 23 et 31 millions d'euros !) selon les sources.
Même avec le prix le plus bas évoqué, l'acheteur anonyme reste bien au dessus du précédent record de prix pour une voiture. Celui-ci était détenue par une Ferrari 250 Testa Rossa de 1957 qui s'était échangée contre 12,2 millions de dollars US en 2009.
Anciennement propriété du collectionneur Peter D Williamson, cette Type 57SC est l'un des 3 exemplaires existant dans le monde.
Dessinée par le fils d'Ettore, Jean Bugatti, celle-ci est un véritable mythe automobile, considérée par beaucoup comme une auto parfaite et reconnue pour avoir été incroyablement en avance sur son époque.
Cela explique donc qu'elle se soit échangée contre une somme folle, variant entre 30 et 40 millions de dollars US (entre 23 et 31 millions d'euros !) selon les sources.
Même avec le prix le plus bas évoqué, l'acheteur anonyme reste bien au dessus du précédent record de prix pour une voiture. Celui-ci était détenue par une Ferrari 250 Testa Rossa de 1957 qui s'était échangée contre 12,2 millions de dollars US en 2009.
Une Bugatti sortie de lac
Pour la troisième année de suite, Bonhams assurera la vente en enchères à Rétromobile, le 23 janvier 2010.
Comme d’habitude, le catalogue devrait regorger de voitures rares et mythiques, dans des états allant de la perfection aux traditionnelles « sorties de granges » au charme rustique et à la patine d’origine.
Mais Bonhams proposera une voiture dans un état pas vraiment banal lors de sa vente. En effet, cette BugattiBrescia 2461/879 de 1925 est restée 73 ans au fond du lac Majeur !
Achetée en 1925, elle fut immatriculée en France. L’un de ses propriétaires fut un architecte ayant travaillé à Ascona en 1933. Il partit ensuite pour Zurich en 1936, laissant la voiture dans un entrepôt sans payer les droits de douane suisse. Celle-ci a donc décidé de détruire la voiture comme le prévoyait la loi. La solution qu’ils ont trouvée fut de noyer la voiture dans le lac.
Immergée à 53 mètres de profondeur, la Bugatti s’est enfoncée dans la vase sur son côté gauche.
Cette année, les membres des sociétés de sauvetage et de plongée d’Ascona ont décidé de sortir la voiture de l’eau et de la vendre afin de financer leur fondation contre la violence juvénile.
Malgré ce long séjour sous-marin, un expert de la marque a estimé que 20% des pièces d’origine seraient utilisables.
Comme d’habitude, le catalogue devrait regorger de voitures rares et mythiques, dans des états allant de la perfection aux traditionnelles « sorties de granges » au charme rustique et à la patine d’origine.
Mais Bonhams proposera une voiture dans un état pas vraiment banal lors de sa vente. En effet, cette BugattiBrescia 2461/879 de 1925 est restée 73 ans au fond du lac Majeur !
Achetée en 1925, elle fut immatriculée en France. L’un de ses propriétaires fut un architecte ayant travaillé à Ascona en 1933. Il partit ensuite pour Zurich en 1936, laissant la voiture dans un entrepôt sans payer les droits de douane suisse. Celle-ci a donc décidé de détruire la voiture comme le prévoyait la loi. La solution qu’ils ont trouvée fut de noyer la voiture dans le lac.
Immergée à 53 mètres de profondeur, la Bugatti s’est enfoncée dans la vase sur son côté gauche.
Cette année, les membres des sociétés de sauvetage et de plongée d’Ascona ont décidé de sortir la voiture de l’eau et de la vendre afin de financer leur fondation contre la violence juvénile.
Malgré ce long séjour sous-marin, un expert de la marque a estimé que 20% des pièces d’origine seraient utilisables.
Bugatti s’installe à Pekin
Jusqu’à présent, pour acheter une Bugatti Veyron neuve, il fallait se rendre à Molsheim en Alsace. Désormais, un second showroom est disponible.
Et ce ne sont ni les Emirats Arabes Unis, ni New-York ou Monaco qui ont été choisis pour accueillir cette nouvelle concession, mais bien Pekin.
Le choix de la Chine démontre bien que le marché du haut de gamme suit les mouvements monétaires vers les nouvelles puissances économiques. La Chine compte plus de millionnaires que n’importe quel autre pays, et les chiffres devraient continuer à augmenter.
C’est cependant pour la figuration que Bugatti s’installe dans l’empire du milieu, puisque les prévisions de ventes pour 2010 sont de... 2 unités !
Cela dit, l’apparition possible d’un modèle 4 portes dans la gamme pourrait permettre à Bugatti d’augmenter un peu ses ventes.
Et ce ne sont ni les Emirats Arabes Unis, ni New-York ou Monaco qui ont été choisis pour accueillir cette nouvelle concession, mais bien Pekin.
Le choix de la Chine démontre bien que le marché du haut de gamme suit les mouvements monétaires vers les nouvelles puissances économiques. La Chine compte plus de millionnaires que n’importe quel autre pays, et les chiffres devraient continuer à augmenter.
C’est cependant pour la figuration que Bugatti s’installe dans l’empire du milieu, puisque les prévisions de ventes pour 2010 sont de... 2 unités !
Cela dit, l’apparition possible d’un modèle 4 portes dans la gamme pourrait permettre à Bugatti d’augmenter un peu ses ventes.
Centenaire Bugatti
Après la magnifique exposition présentée par l’Avignon Motor Festival en mars dernier, le Club Bugatti France, les Enthousiastes Bugatti Alsace et la Cité de l’Automobile de Mulhouse ont été les maîtres d’œuvre des manifestations officielles célébrant le centenaire de la marque Bugatti. Celles-ci se sont déroulées en deux actes.
Les festivités avaient commencé le 11 septembre à Molsheim, lieu de naissance des Bugatti, avec une visite de l’usine actuelle et un concours d’élégance. Elles se sont poursuivies à la Cité de l’Automobile de Mulhouse, où 70 voitures de collectionneurs étaient présentées dans la cour du musée Schlumpf. Avec les 134 Bugatti de la collection exposées, sans compter celles des réserves, il s’agissait d’un des plus grands rassemblements de machines crées par Ettore Bugatti.
Cette partie alsacienne a cédé la place à un rallye touristique, qui a conduit les participants vers Paris avec deux haltes à Vittel et Epernay. Aboutissement de cette mosaïque de célébrations, une cinquantaine de Bugatti étaient présentées les 19 et 20 septembre sous un chapiteau installé sur les Champs-Elysées. Constituant un musée vivant, ces voitures de collectionneurs se sont offert pendant deux jours des balades libres sur la plus belle avenue du monde et alentour, pour le plus grand bonheur des promeneurs et des touristes. Ajoutons que la Maison de l’Alsace, qui soutenait la manifestation parisienne, exposait dans ses locaux des Champs-Elysées la Type 35 de Marc Nicolosi.
Rappelons que, du Type 13 au Type 101, 7950 Bugatti ont été construites au total, dont plus de 2000 existent encore de nos jours !
Les festivités avaient commencé le 11 septembre à Molsheim, lieu de naissance des Bugatti, avec une visite de l’usine actuelle et un concours d’élégance. Elles se sont poursuivies à la Cité de l’Automobile de Mulhouse, où 70 voitures de collectionneurs étaient présentées dans la cour du musée Schlumpf. Avec les 134 Bugatti de la collection exposées, sans compter celles des réserves, il s’agissait d’un des plus grands rassemblements de machines crées par Ettore Bugatti.
Cette partie alsacienne a cédé la place à un rallye touristique, qui a conduit les participants vers Paris avec deux haltes à Vittel et Epernay. Aboutissement de cette mosaïque de célébrations, une cinquantaine de Bugatti étaient présentées les 19 et 20 septembre sous un chapiteau installé sur les Champs-Elysées. Constituant un musée vivant, ces voitures de collectionneurs se sont offert pendant deux jours des balades libres sur la plus belle avenue du monde et alentour, pour le plus grand bonheur des promeneurs et des touristes. Ajoutons que la Maison de l’Alsace, qui soutenait la manifestation parisienne, exposait dans ses locaux des Champs-Elysées la Type 35 de Marc Nicolosi.
Rappelons que, du Type 13 au Type 101, 7950 Bugatti ont été construites au total, dont plus de 2000 existent encore de nos jours !
Bugatti Veyron Sang Bleu
Bugatti n'en finit pas d'égrener des versions spéciales et autres modèles exclusifs de sa Veyron : Pur Sang, Fbg par Hermès, Sang Noir, Centenaire... Les hommes du marketing de la légendaire marque ont encore une fois fait preuve d'une folle originalité en décidant de nommer leur dernière création « Sang Bleu » !
« Bon sang ne saurait mentir », « noblesse oblige », on image déjà les sobriquets vaseux que ce modèle unique s'attirera lorsqu'il sera exposé au salon de Francfort ! En attendant, c'est au nettement plus sélect concours d'élégance de Pebble Beach que la Bugatti Veyron Sang Bleu a été officiellement dévoilée.
On s'en doutait, la Veyron Sang Bleu s'habille d'une teinte bleue (le « bleu royal », forcément) pour ses parties en fibre de carbone, associée à des panneaux d'aluminium poli. Les jantes aluminium et le cuir Gaucho revêtant l'habitacle sont spécifiques à ce modèle. L'originalité, c'est que cette version exclusive a été développée sur la base de la Veyron Grand Sport, version découvrable du bolide Bugatti.
Rien de nouveau sous le soleil en revanche du côté mécanique. Après tout, les 1 001 chevaux de cette « hypercar » sont déjà bien suffisants !
« Bon sang ne saurait mentir », « noblesse oblige », on image déjà les sobriquets vaseux que ce modèle unique s'attirera lorsqu'il sera exposé au salon de Francfort ! En attendant, c'est au nettement plus sélect concours d'élégance de Pebble Beach que la Bugatti Veyron Sang Bleu a été officiellement dévoilée.
On s'en doutait, la Veyron Sang Bleu s'habille d'une teinte bleue (le « bleu royal », forcément) pour ses parties en fibre de carbone, associée à des panneaux d'aluminium poli. Les jantes aluminium et le cuir Gaucho revêtant l'habitacle sont spécifiques à ce modèle. L'originalité, c'est que cette version exclusive a été développée sur la base de la Veyron Grand Sport, version découvrable du bolide Bugatti.
Rien de nouveau sous le soleil en revanche du côté mécanique. Après tout, les 1 001 chevaux de cette « hypercar » sont déjà bien suffisants !
Bugatti Veyron Grand Sport : c'est parti
Bugatti Veyron 16.4 Grand Sport vient de débuter sa production en série.
Si vous avez 1,4 millions d'euros (hors taxes !) de trop sur votre compte en banque, vous pouvez donc vous rendre chez votre concessionnaire et signer un bon de commande, comme l'ont déjà fait 30 amateurs... souvent déjà propriétaires de Veyron ! Seulement 150 exemplaires de la Veyron Grand Sport sont prévus.
Rappelons que la Bugatti Veyron Grand Sport est le cabriolet le plus rapide du monde : 407 km/h toit en place, 360 km/h toit retiré. Dans ce dernier cas, si l'orage menace, il est possible d'installer une capote en toile aux allures de parapluie qui permettra de continuer son voyage... à une vitesse maximale de 160 km/h. Pour le cabriolet le plus rapide du monde, c'est peu. Mais c'est déjà mieux qu'annoncé initialement : à l'origine, la Veyron Grand Sport capotée devait être bridée à... 130 km/h. Risquer de se faire doubler par la première Smart venue aurait été, il est vrai, franchement inconvenant.
Si vous avez 1,4 millions d'euros (hors taxes !) de trop sur votre compte en banque, vous pouvez donc vous rendre chez votre concessionnaire et signer un bon de commande, comme l'ont déjà fait 30 amateurs... souvent déjà propriétaires de Veyron ! Seulement 150 exemplaires de la Veyron Grand Sport sont prévus.
Rappelons que la Bugatti Veyron Grand Sport est le cabriolet le plus rapide du monde : 407 km/h toit en place, 360 km/h toit retiré. Dans ce dernier cas, si l'orage menace, il est possible d'installer une capote en toile aux allures de parapluie qui permettra de continuer son voyage... à une vitesse maximale de 160 km/h. Pour le cabriolet le plus rapide du monde, c'est peu. Mais c'est déjà mieux qu'annoncé initialement : à l'origine, la Veyron Grand Sport capotée devait être bridée à... 130 km/h. Risquer de se faire doubler par la première Smart venue aurait été, il est vrai, franchement inconvenant.
Genève : Bugatti Veyron Centenaire
Revêtue d'un « bleu Bugatti » aux accents mats, la Bugatti Veyron Centenaire s'orne de touches d'aluminium poli et de jantes inédites. L'habitacle s'habille de cuir beige clair, jusqu'à la console centrale, habituellement en aluminium. De nouveaux phares à diodes LED et une caméra de recul font partie de l'équipement de série. Toutes les Bugatti Veyron en profiteront désormais.
La Bugatti Veyron Centenaire, qui ne sera produite qu'à un seul et unique exemplaire, est affichée 1,35 million d'euros... hors taxes. Un tarif fidèle aux traditions Bugatti, qui n'a pas empêché la firme de vendre 250 voitures depuis 2006. L'objectif de vendre 300 Bugatti Veyron d'ici à 2012 devrait donc être atteint sans encombre.
La Bugatti Veyron à l'air libre
Bugatti de dévoiler une version décapotable de sa Veyron. Baptisée Grand Sport, cette version très attendue ne sera de toutes manières pas commercialisée avant mars 2009.
La transformation en cabriolet de la Veyron n'ayant pas été prévue à l'origine, les ingénieurs de Bugatti ont du se creuser la tête. Ils ont finalement opté pour un toit transparent en polycarbonate amovible... qu'il est impossible de stocker à bord de l'auto. Une capote façon parapluie est heureusement disponible dans le coffre à bagages afin de pouvoir continuer son voyage sous la pluie.
Hélas, la dite capote n'est conçue que pour une vitesse maximale de... 130 km/h ! La Gendarmerie sera sans doute enchantée, mais les 1001 chevaux risquent de s'encrasser... Un paradoxe pour la voiture la plus rapide du monde, dûment annoncée pour 407 km/h toit en place, et 360 km/h une fois débarrassée de son chapeau !
Heureusement pour Bugatti, une bonne partie de la clientèle se trouve au Moyen-Orient, zone géographique où le crachin se fait rare, mais où les pétro-dollars ne manquent pas pour s'offrir ce bijou à 1,4 million d'euros... hors taxes. Bugatti ne produira que 150 exemplaires de cette Veyron Grand Sport, les 50 premiers étant réservés aux clients ayant déjà acheté la version coupé. Avouez que deux Veyron dans son garage, ça a de la gueule !
La transformation en cabriolet de la Veyron n'ayant pas été prévue à l'origine, les ingénieurs de Bugatti ont du se creuser la tête. Ils ont finalement opté pour un toit transparent en polycarbonate amovible... qu'il est impossible de stocker à bord de l'auto. Une capote façon parapluie est heureusement disponible dans le coffre à bagages afin de pouvoir continuer son voyage sous la pluie.
Hélas, la dite capote n'est conçue que pour une vitesse maximale de... 130 km/h ! La Gendarmerie sera sans doute enchantée, mais les 1001 chevaux risquent de s'encrasser... Un paradoxe pour la voiture la plus rapide du monde, dûment annoncée pour 407 km/h toit en place, et 360 km/h une fois débarrassée de son chapeau !
Heureusement pour Bugatti, une bonne partie de la clientèle se trouve au Moyen-Orient, zone géographique où le crachin se fait rare, mais où les pétro-dollars ne manquent pas pour s'offrir ce bijou à 1,4 million d'euros... hors taxes. Bugatti ne produira que 150 exemplaires de cette Veyron Grand Sport, les 50 premiers étant réservés aux clients ayant déjà acheté la version coupé. Avouez que deux Veyron dans son garage, ça a de la gueule !
BUGATTI EB 110 GT
Le 14 septembre 1991, le voile se lève sur l’EB 110. Une foule immense a été conviée sur le parvis de la Défense. La presse et le tout-Paris se sont déplacés pour la présentation en grande pompe de la Bugatti EB 110. Il s’agit du premier exemplaire qui arbore le style définitif. Peinte aux couleurs des voitures de compétition de nationalité française, la Bugatti EB 110 (n° 39006) a sensiblement évolué par rapport aux cinq prototypes (39001 à 39005) qui avaient servi aux essais dynamiques.
Marcello Gandini n’a pas été complètement écarté du projet, mais il est désormais secondé (supplanté ?) par l'architecte Giampaolo Benedini, auteur de l’usine de Campogalliano. C’est lui qui a été chargé de peaufiner les lignes définitives. Les volumes sont plus ramassés, les lignes plus singulières.
Marcello Gandini n’a pas été complètement écarté du projet, mais il est désormais secondé (supplanté ?) par l'architecte Giampaolo Benedini, auteur de l’usine de Campogalliano. C’est lui qui a été chargé de peaufiner les lignes définitives. Les volumes sont plus ramassés, les lignes plus singulières.

Les caractéristiques techniques ont également été figées. Le moteur 3,5 litres est désormais donné pour 560 chevaux, soit vingt de mieux que sur les prototypes. La coque est moulée en fibre de carbone. L’industrie française est largement impliquée dans la renaissance italienne de Bugatti. Les sociétés Aérospatiale, Composite Aquitaine, Messier-Bugatti et Michelin sont parties prenantes dans le projet.
En mai 1992, les essais dynamiques se poursuivent en attendant le lancement de la chaîne de fabrication. Jean-Philippe Vittecoq effectue les dernières mises au point en s’employant à réaliser les performances qui ont été prédites par le constructeur. Sur l’anneau de vitesse de Nardo, dans le sud de l’Italie, une EB 110 GT atteint plus de 342 km/h en pointe. On n’est plus très loin de la barre des 350 km/h promis… Les accélérations se rapprochent aussi des valeurs escomptées : il ne faut que 3,46 secondes pour atteindre les 100 km/h et 11,4 secondes pour voir l’aiguille du tachymètre grimper à 200 km/h !
En mai 1992, les essais dynamiques se poursuivent en attendant le lancement de la chaîne de fabrication. Jean-Philippe Vittecoq effectue les dernières mises au point en s’employant à réaliser les performances qui ont été prédites par le constructeur. Sur l’anneau de vitesse de Nardo, dans le sud de l’Italie, une EB 110 GT atteint plus de 342 km/h en pointe. On n’est plus très loin de la barre des 350 km/h promis… Les accélérations se rapprochent aussi des valeurs escomptées : il ne faut que 3,46 secondes pour atteindre les 100 km/h et 11,4 secondes pour voir l’aiguille du tachymètre grimper à 200 km/h !
Au moment du Mondial de l’Automobile 1992, la Bugatti EB 110 GT est fin prête pour sa commercialisation. Un importateur a été nommé pour la France. Il s’agit de British Motors, une société animée par Edgar Bensoussan dans le seizième arrondissement de Paris, rue La Fontaine. Le journaliste, ancien pilote, José Rosinski est chargé des relations publiques.
L’exemplaire vendu à Monaco a été livré en Belgique en avril 1994.
L’exemplaire vendu à Monaco a été livré en Belgique en avril 1994.
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